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Mohamed Al-Joundi, ancien chauffeur des journalistes Christian Chesnot et Georges Malbruno, retenu en otage en Irak avec eux , attaque l'Etat français .IL compte demander 150.000 euros de dommages en raison de sa situation matérielle précaire n'ayant rien obtenus de l'Etat français malgré les nombreuses promesses effectuées.
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Mohammed Al-Joundi, l'ancien chauffeur et guide syrien des ex-otages français en Irak Georges Malbrunot et Christian Chesnot avec lesquels il avait été enlevé, aurait décidé d'attaquer l'Etat français en justice, révèle RTL, lundi.
Selon la station, Al-Joundi assigne la France en justice et réclame 150.000 euros à l'Etat qui n'aurait pas respecté ses promesses alors qu'il a aidé à la libération des deux journalistes.
Cette "assignation pour réparation" repose, selon RTL, sur la situation matérielle d'Al-Joundi qui estime avoir tout perdu après son départ forcé d'Irak sans avoir jamais été aidé par les autorités françaises et ce en dépit de promesses qui, selon lui, auraient été faites à l'époque.
Sans compter
Cet Irakien de 52 ans affirme ainsi qu'après avoir été libéré le premier par ses ravisseurs en novembre 2004, l'ambassade de France à Bagdad l'a mis d'office dans un avion à destination de Paris où l'ancien chauffeur assure avoir "travaillé sans compter pour une cause noble": la libération des deux journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot.
Tenu de garder le secret pour faciliter cette libération, Mohammed Al-Joundi est contraint, selon lui, de renoncer à des propositions d'interviews rémunérées et à des contrats avec des éditeurs.
Al-Joundi attaque l'Etat français
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Mohammed Al-Joundi, l'ancien chauffeur et guide syrien des ex-otages français en Irak Georges Malbrunot et Christian Chesnot avec lesquels il avait été enlevé, aurait décidé d'attaquer l'Etat français en justice, révèle RTL, lundi.
Selon la station, Al-Joundi assigne la France en justice et réclame 150.000 euros à l'Etat qui n'aurait pas respecté ses promesses alors qu'il a aidé à la libération des deux journalistes.
Cette "assignation pour réparation" repose, selon RTL, sur la situation matérielle d'Al-Joundi qui estime avoir tout perdu après son départ forcé d'Irak sans avoir jamais été aidé par les autorités françaises et ce en dépit de promesses qui, selon lui, auraient été faites à l'époque.
Sans compter
Cet Irakien de 52 ans affirme ainsi qu'après avoir été libéré le premier par ses ravisseurs en novembre 2004, l'ambassade de France à Bagdad l'a mis d'office dans un avion à destination de Paris où l'ancien chauffeur assure avoir "travaillé sans compter pour une cause noble": la libération des deux journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot.
Tenu de garder le secret pour faciliter cette libération, Mohammed Al-Joundi est contraint, selon lui, de renoncer à des propositions d'interviews rémunérées et à des contrats avec des éditeurs.
Al-Joundi attaque l'Etat français