Par ALLAIN JULES
Entre posture et imposture, esprit grégaire maladroit, arrogance malsaine, aussi hautain que ridicule, Eric Naulleau serait en pleine dépression pavlovienne à cause de sa prévisibilité qui devient lassante et inutile pour la télévision. Résultat d’un saupoudrage fantaisiste, entre une paresse intellectuelle avérée, une haine non-feinte des auteurs et/ou personnalités connues, et surtout, une faiblesse abyssale. L’homme a voulu se muer en exemple suprême, en brocardant bassement ici et là, tous les livres qu’il ne lit pas. Le pot aux roses est découvert. Il serait un brillant éditeur, un excellent écrivain et, un critique littéraire de haute voltige…mon œil ! En réalité, comme éditeur de pacotille, il n’y a pas mieux. Comme écrivain dont on ne connaît aucune œuvre, c’est même le bouquet. Comme critique littéraire alors là, Naulleau rime bien avec nigaud ou zozo, au choix.
Quand l’irrespect rencontre l’incompétence, il n’y a pas de doute possible, on se saborde tout seul. Ce qui est sûr, la rentrée prochaine, si ce mec continue d’officier à la télévision, cette émission du très bon Laurent Ruquier, perdra de sa superbe. Ce grand garçon, loin d’être la cheville ouvrière de ce programme familial, est finalement la personne qui, chaque jour davantage, le dévalue et l’altère dangereusement. Malgré sa prose pathologique, c’est le maillon faible. Clash après clash, il faut finalement s’interroger sur le bien fondé de la présence de ce voltigeur de la méchanceté gratuite et de la maladresse constante. Il touche le fond. Essentiellement, inutilement, outrageusement et malhonnêtement, ses symphonies dissonantes de nos samedis soirs, les transforment en programme infecte, agrégat de charges ridicules, contre des écrivains, dont il n’atteint pas la cheville, n’étant pas capable de trouver les bonnes formules et aphorismes pour faire un bon bouquin. Mais, il ne sait que faire ça, lyncher ? __________________________________________________ _________ Il y a eu l’acteur-humoriste Michaël Youn, qui l’avait mis à sa place, une fois. Mais, de fil en aiguille, l’homme que tout le monde redoutait, s’avère être un faible d’esprit qui se met en réalité, perpétuellement, sur la défensive et puis, comble du malheur, n’a même pas le recul nécessaire et la force de lire un tant soi peu, les œuvres soumises à ses sentences hypocrites qu’il est sensé critiquer en toute impartialité. Ce fut le cas avec Me Karim Achoui. Il se focalisa essentiellement, par jalousie sans doute, sur la tenue vestimentaire de l’avocat et sur ses clients, comme si un pénaliste courait dans la rue avec une pancarte sur la tête à la recherche de ses clients. Comme si, être bien mis, propre sur soi, était une forme d’arrogance. Avec ses nombreuses casquettes, lui, homme soit disant de gauche, peut s’offrir des Rolex sans passer par des chemins tortueux comme Julien Dray, du moins, selon les soupçons qui pèsent sur sa personne, ou faire son shopping chez Armani, Gucci, Francesco Smalto ou le bottier Berluti qui semble l’obséder. Il a contribué activement, selon certains, à influencer les jurés, qui ont décidé l’incarcération de cet homme, Me Karim Achoui, avec sa charge violente. Ce n’est pas mon propos.
Entre posture et imposture, esprit grégaire maladroit, arrogance malsaine, aussi hautain que ridicule, Eric Naulleau serait en pleine dépression pavlovienne à cause de sa prévisibilité qui devient lassante et inutile pour la télévision. Résultat d’un saupoudrage fantaisiste, entre une paresse intellectuelle avérée, une haine non-feinte des auteurs et/ou personnalités connues, et surtout, une faiblesse abyssale. L’homme a voulu se muer en exemple suprême, en brocardant bassement ici et là, tous les livres qu’il ne lit pas. Le pot aux roses est découvert. Il serait un brillant éditeur, un excellent écrivain et, un critique littéraire de haute voltige…mon œil ! En réalité, comme éditeur de pacotille, il n’y a pas mieux. Comme écrivain dont on ne connaît aucune œuvre, c’est même le bouquet. Comme critique littéraire alors là, Naulleau rime bien avec nigaud ou zozo, au choix.
Quand l’irrespect rencontre l’incompétence, il n’y a pas de doute possible, on se saborde tout seul. Ce qui est sûr, la rentrée prochaine, si ce mec continue d’officier à la télévision, cette émission du très bon Laurent Ruquier, perdra de sa superbe. Ce grand garçon, loin d’être la cheville ouvrière de ce programme familial, est finalement la personne qui, chaque jour davantage, le dévalue et l’altère dangereusement. Malgré sa prose pathologique, c’est le maillon faible. Clash après clash, il faut finalement s’interroger sur le bien fondé de la présence de ce voltigeur de la méchanceté gratuite et de la maladresse constante. Il touche le fond. Essentiellement, inutilement, outrageusement et malhonnêtement, ses symphonies dissonantes de nos samedis soirs, les transforment en programme infecte, agrégat de charges ridicules, contre des écrivains, dont il n’atteint pas la cheville, n’étant pas capable de trouver les bonnes formules et aphorismes pour faire un bon bouquin. Mais, il ne sait que faire ça, lyncher ? __________________________________________________ _________ Il y a eu l’acteur-humoriste Michaël Youn, qui l’avait mis à sa place, une fois. Mais, de fil en aiguille, l’homme que tout le monde redoutait, s’avère être un faible d’esprit qui se met en réalité, perpétuellement, sur la défensive et puis, comble du malheur, n’a même pas le recul nécessaire et la force de lire un tant soi peu, les œuvres soumises à ses sentences hypocrites qu’il est sensé critiquer en toute impartialité. Ce fut le cas avec Me Karim Achoui. Il se focalisa essentiellement, par jalousie sans doute, sur la tenue vestimentaire de l’avocat et sur ses clients, comme si un pénaliste courait dans la rue avec une pancarte sur la tête à la recherche de ses clients. Comme si, être bien mis, propre sur soi, était une forme d’arrogance. Avec ses nombreuses casquettes, lui, homme soit disant de gauche, peut s’offrir des Rolex sans passer par des chemins tortueux comme Julien Dray, du moins, selon les soupçons qui pèsent sur sa personne, ou faire son shopping chez Armani, Gucci, Francesco Smalto ou le bottier Berluti qui semble l’obséder. Il a contribué activement, selon certains, à influencer les jurés, qui ont décidé l’incarcération de cet homme, Me Karim Achoui, avec sa charge violente. Ce n’est pas mon propos.
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