Un soir de mélancolie
Elle veillait.
La nuit flamboyait.
Elle avait part aux labours, aux voyages des chasseurs le long des rivières.
Son corps nourri de douceur
Flambait.
Elle restait debout si cachée aux regards.
Elle avait comme une flamme entre ses mains.
D’un délire sans ressort, que le feu du coeur attisait.
Elle aimait la nuit.
A la belle étoile.
Elle se laissait aller à cette heure ou son âme était libre.
Elle laissait se poser ses yeux sur une eau vive et sans nuage ou son visage apparaît comme de l’or dépoli.
Ce n'etaiant pas là ses yeux mais d’un messager sérieux.
Un bélier perdu.
Son ombre à peine dessinée.
Elle aimait le vent qui sonnait comme le cristal.
Seule.
A profiter du temps.
En veille…pour accomplir son rite habituel.
Quand elle entendait se lever les cailles.
Elle était à nouveau elle.
A chaque instant elle était heureuse.
Elle regardait la ville qui dormait comme une bête noyée.
Elle restait à la fenêtre.
Dans le ciel…
Il y avait ce parfum.
Paix dans l’âme.
Souvent en se levant elle observait la lumière et elle attendait.
Quelque chose, nécessairement de bonne augure, allait venir.
C’était son corps qui s’embrasait.
Son esprit se troublait.
Voguait.
Obéissant à son sillage.
Très vite elle entrait dans le songe jusqu'à ce qu’un fil de brume tremble.
Elle fermait sa chambre secrète en abandonnant la douce bête aux yeux grandement ouverts.
Qu’arrivait-il ?
Elle rêvait.
Tout son corps devenait faible, dominait par la lassitude.
De temps en temps elle somnolait.
Et elle ne savait plus s’il allait bientôt venir celui qu’elle attendait depuis sa première enfance.
À la voix d’arbre dans le vent.
L’aube se levait.
La plage était déserte.
Elle pleurait.
Elle veillait.
La nuit flamboyait.
Elle avait part aux labours, aux voyages des chasseurs le long des rivières.
Son corps nourri de douceur
Flambait.
Elle restait debout si cachée aux regards.
Elle avait comme une flamme entre ses mains.
D’un délire sans ressort, que le feu du coeur attisait.
Elle aimait la nuit.
A la belle étoile.
Elle se laissait aller à cette heure ou son âme était libre.
Elle laissait se poser ses yeux sur une eau vive et sans nuage ou son visage apparaît comme de l’or dépoli.
Ce n'etaiant pas là ses yeux mais d’un messager sérieux.
Un bélier perdu.
Son ombre à peine dessinée.
Elle aimait le vent qui sonnait comme le cristal.
Seule.
A profiter du temps.
En veille…pour accomplir son rite habituel.
Quand elle entendait se lever les cailles.
Elle était à nouveau elle.
A chaque instant elle était heureuse.
Elle regardait la ville qui dormait comme une bête noyée.
Elle restait à la fenêtre.
Dans le ciel…
Il y avait ce parfum.
Paix dans l’âme.
Souvent en se levant elle observait la lumière et elle attendait.
Quelque chose, nécessairement de bonne augure, allait venir.
C’était son corps qui s’embrasait.
Son esprit se troublait.
Voguait.
Obéissant à son sillage.
Très vite elle entrait dans le songe jusqu'à ce qu’un fil de brume tremble.
Elle fermait sa chambre secrète en abandonnant la douce bête aux yeux grandement ouverts.
Qu’arrivait-il ?
Elle rêvait.
Tout son corps devenait faible, dominait par la lassitude.
De temps en temps elle somnolait.
Et elle ne savait plus s’il allait bientôt venir celui qu’elle attendait depuis sa première enfance.
À la voix d’arbre dans le vent.
L’aube se levait.
La plage était déserte.
Elle pleurait.
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