Les élèves rêvant d’intégrer l’Ecole supérieure de la défense aérienne du territoire (ESDAT), implantée à Réghaïa, ont la possibilité d’avoir un avant-goût de la qualité d’enseignement de cet établissement et de l’avenir auquel il prépare.
Et pour cause, des journées portes ouvertes sur l’école sont organisées depuis hier. Elles s’achèveront demain. Des visites guidées dans les différents blocs de l’école sont au programme, tant pour le grand public que pour les futurs bacheliers. Des portes ouvertes organisées dans le cadre du plan de communication du ministère de la Défense nationale, a indiqué le colonel Ayad Tahar, directeur de l’école, lors de son allocution d’ouverture. Hier, au premier jour, de nombreux lycéens de l’est de la capitale ont eu droit à une visite guidée avec des explications données par des officiers sur le système de tronc commun et de pré-spécialisation de l’école.
Pour aujourd’hui et demain, des lycéens d’autres localités, notamment de la wilaya de Boumerdès, auront également à visiter cette école. Une initiative qui aidera les futurs étudiants à se familiariser avec les études militaires. La nouveauté de l’école est l’intégration depuis la dernière rentrée universitaire des études d’ingéniorat. L’ESDAT qui ne préparait auparavant qu’à des diplômes de technicien supérieur de la défense aérienne, a ouvert cette nouvelle filière. Les élèves, après une année académique à Cherchell, peuvent intégrer l’ESDAT et poursuivre un cursus de quatre ans pour l’obtention d’un diplôme d’Etat en défense aérienne, spécialité missile ou télécommunication.
L’avantage est que le diplôme est homologué par les ministères de la Défense nationale et de l’Enseignement supérieur. Autrement dit, bien que le diplômé se soit engagé dans une carrière militaire, il lui est possible de suivre par la suite des études de post-graduation dans une université.
Concernant les conditions d’accès à l’école, elles restent les mêmes. Il faut décrocher un bac filière scientifique avec une moyenne générale supérieure à 12 /20 et réussir au concours d’accès, outre d’autres conditions d’ordre administratif.
Notons, enfin, que la défense aérienne est la seule institution militaire ayant un service SAR (recherche et sauvetage) permettant d’intervenir sur tout le continent africain.
Jeune Indépendant
Et pour cause, des journées portes ouvertes sur l’école sont organisées depuis hier. Elles s’achèveront demain. Des visites guidées dans les différents blocs de l’école sont au programme, tant pour le grand public que pour les futurs bacheliers. Des portes ouvertes organisées dans le cadre du plan de communication du ministère de la Défense nationale, a indiqué le colonel Ayad Tahar, directeur de l’école, lors de son allocution d’ouverture. Hier, au premier jour, de nombreux lycéens de l’est de la capitale ont eu droit à une visite guidée avec des explications données par des officiers sur le système de tronc commun et de pré-spécialisation de l’école.
Pour aujourd’hui et demain, des lycéens d’autres localités, notamment de la wilaya de Boumerdès, auront également à visiter cette école. Une initiative qui aidera les futurs étudiants à se familiariser avec les études militaires. La nouveauté de l’école est l’intégration depuis la dernière rentrée universitaire des études d’ingéniorat. L’ESDAT qui ne préparait auparavant qu’à des diplômes de technicien supérieur de la défense aérienne, a ouvert cette nouvelle filière. Les élèves, après une année académique à Cherchell, peuvent intégrer l’ESDAT et poursuivre un cursus de quatre ans pour l’obtention d’un diplôme d’Etat en défense aérienne, spécialité missile ou télécommunication.
L’avantage est que le diplôme est homologué par les ministères de la Défense nationale et de l’Enseignement supérieur. Autrement dit, bien que le diplômé se soit engagé dans une carrière militaire, il lui est possible de suivre par la suite des études de post-graduation dans une université.
Concernant les conditions d’accès à l’école, elles restent les mêmes. Il faut décrocher un bac filière scientifique avec une moyenne générale supérieure à 12 /20 et réussir au concours d’accès, outre d’autres conditions d’ordre administratif.
Notons, enfin, que la défense aérienne est la seule institution militaire ayant un service SAR (recherche et sauvetage) permettant d’intervenir sur tout le continent africain.
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