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    ...........
    Désolé,
    les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

    .......................
    Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 09h32.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Toujours un plaisir de te lire Zac !!!

    Elle, elle a bien de la chance....

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    • #3
      et quand tu parles d'elle
      tu écris des merveilles!

      c'est sublime zac

      Merci!
      une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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      • #4
        La coquine fait couler la plume de Zac !

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        • #5
          comme d'habitude, une autre merveille de tes mains... zak
          c'est magnifique, merci pour le partage,
          la vie est trop longue pour attendre, et trop courte pour comprendre

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          • #6
            Merci de ton passage, Feuzed, et toi aussi, Mirages.
            Hellas, et Tsunami, depuis le temps que vous me lisez, vous savez pertinemment que je n’écris pas que pour moi.


            Elle, elle a bien de la chance...
            La coquine fait couler la plume de Zac !
            J’ai même écrit sur les petits…tsunamis.
            La vague, n’est-elle pas un petit tsunami ?
            un rappel...


            Vague, tes mélancoliques écumes me regardent
            Et veulent me faire part d’un secret que tu gardes
            Parle-nous de cette tempête qui attise tes peines,
            Et qui est toujours là malgré le temps qui s’égrène.

            Vague, qui de nous n’a pas traversé un cyclone,
            Une bourrasque çà et là qui fléchirait un pylône
            Mais la tornade qui te hante n’est que passagère
            Et son allure imposante est pourtant mensongère.

            On t’a vu bien souvent, cogner la tête aux falaises,
            Mordre des récifs, des rochers encore plus balaises
            Du bout de tes doigts tu as fais danser des bateaux,
            Dans tes bras, autrefois, ont bâtissait des châteaux.

            Espoir des fébriles qui lancent les bouteilles à la mer
            Berceuse des marins qui n’ont vu que des chimères,
            La vie, la force et la joute ont incarné ton emblème
            Que hissaient sur leurs mats les rameurs des birèmes.

            Tes farandoles incessantes sur les rives et les plages
            Qui Câlinent sans relâche le corail et les coquillages
            Sont audibles de loin, même quand la marée les retire
            Ou lorsqu’un orage prétentieux voudrait les agonir.

            Tu étreignes de bout en bout les iles et les océans
            En traquant les sirènes, tu as délivré Ulysse du néant
            Mais je vois qu’aujourd’hui ta vigueur t’abandonne…
            Vague, nous sommes là pour t’aider à rester sur le trône.

            Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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            • #7
              Merci Zac !

              C'est un poème que je gardais précieusement... tu as tapé fi mille.

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              • #8
                Parfait autant de plaisir a lire ça. merci.

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                • #9
                  zac, c'est vraiement un don que tu as

                  merci de nous faire partager de si jolis écris

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                  • #10
                    beaucoup de plaisir à retrouver tes écrits, Zac merci pour le partage
                    très beau poème avec toujours autant d'émotion...
                    Désormais je compte les jours...pour te retrouver mon amour...

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                    • #11
                      Psycho, Djamila et Arimas ainsi qu'à nos amis(es) invités (es), merci pour votre passage.
                      Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                      • #12
                        A elle, elle est immortelle
                        Et même sans elle , tu sais t'envoler
                        Même le coeur brisé
                        Si tu penses à elle
                        Jamais tu ne pourras tomber.


                        Bonjour zac,

                        Merci pour ton beau poème, c'est un beau bouquet qui ne saura jamais faner.

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                        • #13
                          Merci, Majesté.
                          Ton passage m'honore.
                          Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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