Tweet
REVALORISATION DU SNMG
L’UGTA plaide pour 15 000 DA
L’UGTA donnera son accord pour un salaire national minimum garanti (SNMG) avoisinant les 15 000 DA. C’est ce que nous a indiqué, hier, une source proche du secrétariat national.
Hier, à la réunion de la direction nationale de l’UGTA, deux points étaient inscrits à l’ordre du jour. Il s’agit de l’évaluation de la participation de l’UGTA à la présidentielle d’avril dernier et la célébration des festivités du 1er Mai, prévue cette année à Jijel. A ce propos, on indique que la Centrale syndicale compte «capitaliser au maximum» son soutien au «candidat des travailleurs», en plaidant pour une revalorisation conséquente du SNMG. Une idée, faut-il le rappeler, avancée par le président de la République le 23 février dernier lors d’un discours prononcé devant les travailleurs à Arzew, à l’occasion du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures. «Je m’engage à augmenter le Salaire national minimum garanti (SNMG) dans les prochains mois, si je suis réélu. Ainsi, si le SNMG venait à être relevé à hauteur de 15 000 DA, l’UGTA ne ferait que concrétiser l’une de ses principales revendications contenues dans les résolutions des 10e et 11e congrès nationaux. Cependant, il demeure que cette revalorisation est tributaire de plusieurs paramètres, sachant qu’une telle hausse engendrerait d’autres augmentations indexées sur le SNMG. Il s’agit notamment des pensions allouées aux moudjahidine et à leurs ayants droit ou encore les salaires des hauts responsables de l’Etat. Ceci étant, si le principe de la revalorisation est désormais chose acquise, sa «définition» ou encore son entrée en application dépendra de la tenue de la 13e tripartite, dont la date sera déterminée entre les trois partenaires, à savoir le gouvernement, l’UGTA et le patronat. La rencontre tripartite sera précédée par la mise en place de groupes de travail, dont la feuille de route sera fixée par les parties concernées.
Abder Bettache
L’UGTA plaide pour 15 000 DA
L’UGTA donnera son accord pour un salaire national minimum garanti (SNMG) avoisinant les 15 000 DA. C’est ce que nous a indiqué, hier, une source proche du secrétariat national.
Hier, à la réunion de la direction nationale de l’UGTA, deux points étaient inscrits à l’ordre du jour. Il s’agit de l’évaluation de la participation de l’UGTA à la présidentielle d’avril dernier et la célébration des festivités du 1er Mai, prévue cette année à Jijel. A ce propos, on indique que la Centrale syndicale compte «capitaliser au maximum» son soutien au «candidat des travailleurs», en plaidant pour une revalorisation conséquente du SNMG. Une idée, faut-il le rappeler, avancée par le président de la République le 23 février dernier lors d’un discours prononcé devant les travailleurs à Arzew, à l’occasion du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures. «Je m’engage à augmenter le Salaire national minimum garanti (SNMG) dans les prochains mois, si je suis réélu. Ainsi, si le SNMG venait à être relevé à hauteur de 15 000 DA, l’UGTA ne ferait que concrétiser l’une de ses principales revendications contenues dans les résolutions des 10e et 11e congrès nationaux. Cependant, il demeure que cette revalorisation est tributaire de plusieurs paramètres, sachant qu’une telle hausse engendrerait d’autres augmentations indexées sur le SNMG. Il s’agit notamment des pensions allouées aux moudjahidine et à leurs ayants droit ou encore les salaires des hauts responsables de l’Etat. Ceci étant, si le principe de la revalorisation est désormais chose acquise, sa «définition» ou encore son entrée en application dépendra de la tenue de la 13e tripartite, dont la date sera déterminée entre les trois partenaires, à savoir le gouvernement, l’UGTA et le patronat. La rencontre tripartite sera précédée par la mise en place de groupes de travail, dont la feuille de route sera fixée par les parties concernées.
Abder Bettache