Une moyenne de 180.000 visas, dont un tiers (1/3) de visas de circulation, est accordée annuellement aux Algériens, au niveau des trois consulats français en Algérie.
Quand on sait que pour l'octroi d'un visa pour ce pays, il faut débourser, 6.000 DA. Faisons un petit calcul. Une simple multiplication. 180.000 visas par 6.000 DA (c'est une moyenne). Cela nous donne la petite cagnotte de 1.080.000.000 de dinars. Ce qui se traduit en mauvaise langue, en 108 milliards de centimes par an. Cela s'appelle, bien entendu, frais de visa.
D'un autre côté, on apprend que la France met 3 millions d'euros, c'est-à-dire 300 millions de dinars, convertis en mauvaise langue à 30 milliards de centimes de dinars pour financer «l'appui à la réforme des écoles supérieures de technologie». Amala, convertissons le tout en euros et voyons voir disait l'aveugle, combien madame la France prend sans froncer les sourcils. Ni impôt, ni deux pots. Du bénéfice clair. C'est de bonne guerre, me diriez-vous. Mais vous conviendrez que quelque part, il y a maldonne... Maintenant si on tentait de faire le même calcul pour toutes les ambassades européennes; d'additionner tous les frais de visas que le petit Algérien de rien débourse, par rapport aux investissements que ce groupement d'étoiles octroient comme aide, on s'apercevrait aisément que c'est de l'Art. Un art avec un grand «A» comme arnaque.
Quand on sait que pour l'octroi d'un visa pour ce pays, il faut débourser, 6.000 DA. Faisons un petit calcul. Une simple multiplication. 180.000 visas par 6.000 DA (c'est une moyenne). Cela nous donne la petite cagnotte de 1.080.000.000 de dinars. Ce qui se traduit en mauvaise langue, en 108 milliards de centimes par an. Cela s'appelle, bien entendu, frais de visa.
D'un autre côté, on apprend que la France met 3 millions d'euros, c'est-à-dire 300 millions de dinars, convertis en mauvaise langue à 30 milliards de centimes de dinars pour financer «l'appui à la réforme des écoles supérieures de technologie». Amala, convertissons le tout en euros et voyons voir disait l'aveugle, combien madame la France prend sans froncer les sourcils. Ni impôt, ni deux pots. Du bénéfice clair. C'est de bonne guerre, me diriez-vous. Mais vous conviendrez que quelque part, il y a maldonne... Maintenant si on tentait de faire le même calcul pour toutes les ambassades européennes; d'additionner tous les frais de visas que le petit Algérien de rien débourse, par rapport aux investissements que ce groupement d'étoiles octroient comme aide, on s'apercevrait aisément que c'est de l'Art. Un art avec un grand «A» comme arnaque.
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