01-05-2009
APA-Rabat (Maroc) Le Zimbabwe a exprimé jeudi, par la voix du président de son Assemblée nationale, Love More Moyo, son soutien au Maroc dans son plan de règlement du conflit du Sahara, notamment l’autonomie proposée par Rabat en 2007.
« Je voudrais annoncer que nous sommes aux côtés des Marocains, en toute solidarité dans toutes vos entreprises qui visent le règlement » de la question du Sahara, a déclaré à la presse Love More Moyo, à l’issue d’entretiens avec des officiels marocains.
« Nous allons apporter notre soutien au règlement de ce différend sur la base du dialogue proposé par le Maroc », a encore précisé l’autorité zimbabwéenne qui a entamé jeudi une visite de cinq jours au Maroc.
« La position du gouvernement du Zimbabwe actuel est tout à fait différente de celle de l’ancien gouvernement » concernant la question du Sahara, a conclu M. Moyo.
Après des décennies de colonisation espagnole, le Sahara (plus de 250.000 km2) est passé, depuis fin 1975, sous la souveraineté marocaine, ce que le front séparatiste du Polisario conteste depuis ses bases dans le sud ouest algérien.
Des négociations non concluantes se tiennent depuis juin 2007 à Manhasset, près de New York, sous l’égide de l’ONU, pour trouver une issue à ce conflit qualifié par le Maroc d’artificiel.
Un plan d’autonomie est même proposé par Rabat comme seule solution envisageable.
Le Polisario réclame un référendum d’autodétermination qualifié d’irréaliste par Rabat et par une bonne partie de la communauté internationale.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a réitéré, jeudi, son appel à poursuivre les négociations sur le Sahara « sans conditions préalables et de bonne foi » et à faire preuve de « réalisme et d’un esprit de compromis ».
Dans sa nouvelle résolution, le Conseil s’est félicité de l’accord des parties avec l’Envoyé personnel du Secrétaire général, Christopher Ross, d’organiser des pourparlers « informels restreints » en vue d’un cinquième round de négociations.
L’Algérie et la Mauritanie prennent par également aux pourparlers en tant qu’observateurs.
source: YB/od/APA
01-05-2009
APA-Rabat (Maroc) Le Zimbabwe a exprimé jeudi, par la voix du président de son Assemblée nationale, Love More Moyo, son soutien au Maroc dans son plan de règlement du conflit du Sahara, notamment l’autonomie proposée par Rabat en 2007.
« Je voudrais annoncer que nous sommes aux côtés des Marocains, en toute solidarité dans toutes vos entreprises qui visent le règlement » de la question du Sahara, a déclaré à la presse Love More Moyo, à l’issue d’entretiens avec des officiels marocains.
« Nous allons apporter notre soutien au règlement de ce différend sur la base du dialogue proposé par le Maroc », a encore précisé l’autorité zimbabwéenne qui a entamé jeudi une visite de cinq jours au Maroc.
« La position du gouvernement du Zimbabwe actuel est tout à fait différente de celle de l’ancien gouvernement » concernant la question du Sahara, a conclu M. Moyo.
Après des décennies de colonisation espagnole, le Sahara (plus de 250.000 km2) est passé, depuis fin 1975, sous la souveraineté marocaine, ce que le front séparatiste du Polisario conteste depuis ses bases dans le sud ouest algérien.
Des négociations non concluantes se tiennent depuis juin 2007 à Manhasset, près de New York, sous l’égide de l’ONU, pour trouver une issue à ce conflit qualifié par le Maroc d’artificiel.
Un plan d’autonomie est même proposé par Rabat comme seule solution envisageable.
Le Polisario réclame un référendum d’autodétermination qualifié d’irréaliste par Rabat et par une bonne partie de la communauté internationale.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a réitéré, jeudi, son appel à poursuivre les négociations sur le Sahara « sans conditions préalables et de bonne foi » et à faire preuve de « réalisme et d’un esprit de compromis ».
Dans sa nouvelle résolution, le Conseil s’est félicité de l’accord des parties avec l’Envoyé personnel du Secrétaire général, Christopher Ross, d’organiser des pourparlers « informels restreints » en vue d’un cinquième round de négociations.
L’Algérie et la Mauritanie prennent par également aux pourparlers en tant qu’observateurs.
source: YB/od/APA
01-05-2009
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