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Le Soir d'Algérie, 30 avril 2009
Invité de l’émission «Tahaoulet» de la Radio Chaîne I, M. Abdelkader Malki, secrétaire national et chargé de la communication de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), a écarté la possibilité de discussions avec les syndicats autonomes.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) -Le syndicaliste a rappelé que l’UGTA compte 2 millions d’adhérents et que des actions de protestation de la Centrale syndicale pouvaient paralyser les institutions. Cependant, l’invité de la radio ne manquera pas de souligner que la Centrale «privilégie le dialogue et ne souhaite pas une confrontation avec les autorités ou avec le patronat».
Interrogé sur les grèves entamées par les syndicats autonomes au niveau du secteur de la santé et des chemins de fer notamment, M. Malki expliquera que les syndicats sont agréés et libres de revendiquer les droits des travailleurs. «L’UGTA, cependant, négocie pour tous les travailleurs et pas seulement pour ses adhérents», a déclaré M. Malki sur les ondes de la radio. Concernant les actions de protestation prévues pour la journée du 1er mai, l’intervenant ne manquera pas de préciser que les membres de l’UGTA n’ont jamais accepté de se réunir avec les syndicats autonomes. «Nous ne voyons pas l’utilité de discuter avec ces syndicats pour faire front contre le gouvernement et le patronat», a affirmé M. Malki. Ce dernier, interrogé, en outre, sur d’éventuelles discussions lors de la tripartite sur la hausse des prix et la baisse du pouvoir d’achat, mettra surtout l’accent sur l’anarchie qui règne sur le marché et n’abordera pas la question des salaires.
Il déclarera même que la hausse des salaires dépend des moyens financiers du pays. «Nous ne devons pas aussi aboutir à la fermeture des entreprises et à leur faillite sous prétexte de hausse des salaires», a souligné l’intervenant. Pour ce qui est de la promesse de création de 3 millions de postes d’emploi, le représentant de l’UGTA a appelé à l’investissement, notamment dans les secteurs de l’agriculture et du tourisme, et à l’élargissement du tissu industriel.
F-.Z. B.
Invité de l’émission «Tahaoulet» de la Radio Chaîne I, M. Abdelkader Malki, secrétaire national et chargé de la communication de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), a écarté la possibilité de discussions avec les syndicats autonomes.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) -Le syndicaliste a rappelé que l’UGTA compte 2 millions d’adhérents et que des actions de protestation de la Centrale syndicale pouvaient paralyser les institutions. Cependant, l’invité de la radio ne manquera pas de souligner que la Centrale «privilégie le dialogue et ne souhaite pas une confrontation avec les autorités ou avec le patronat».
Interrogé sur les grèves entamées par les syndicats autonomes au niveau du secteur de la santé et des chemins de fer notamment, M. Malki expliquera que les syndicats sont agréés et libres de revendiquer les droits des travailleurs. «L’UGTA, cependant, négocie pour tous les travailleurs et pas seulement pour ses adhérents», a déclaré M. Malki sur les ondes de la radio. Concernant les actions de protestation prévues pour la journée du 1er mai, l’intervenant ne manquera pas de préciser que les membres de l’UGTA n’ont jamais accepté de se réunir avec les syndicats autonomes. «Nous ne voyons pas l’utilité de discuter avec ces syndicats pour faire front contre le gouvernement et le patronat», a affirmé M. Malki. Ce dernier, interrogé, en outre, sur d’éventuelles discussions lors de la tripartite sur la hausse des prix et la baisse du pouvoir d’achat, mettra surtout l’accent sur l’anarchie qui règne sur le marché et n’abordera pas la question des salaires.
Il déclarera même que la hausse des salaires dépend des moyens financiers du pays. «Nous ne devons pas aussi aboutir à la fermeture des entreprises et à leur faillite sous prétexte de hausse des salaires», a souligné l’intervenant. Pour ce qui est de la promesse de création de 3 millions de postes d’emploi, le représentant de l’UGTA a appelé à l’investissement, notamment dans les secteurs de l’agriculture et du tourisme, et à l’élargissement du tissu industriel.
F-.Z. B.
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