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Le Festival de la musique gnaouie s’est achevé dans l’apothéose. Combien étaient-ils jeudi, dernière journée du Festival au stade Nasr ? Cinq mille ? Dix mille ? Difficile d’évaluer le nombre d’admirateurs et de supporters qui ont envahi le stade archi-comble pour assister au dernier concert de chant de Hasna Bacharira, leur idole préférée. Ils sont venus de toutes les cités et quartiers de la ville. Et ils ne seront pas déçus. La chanteuse, tant attendue, a galvanisé la foule avec sa première et célèbre chanson El Djaïr Jouhara, une foule composée à majorité de femmes et de jeunes. Trois chansons de Hasna ont suffi pour ébranler les gradins du stade où se mêlaient danses, sifflements et applaudissements nourris, à mesure de la tonalité des sons et de la cadence des refrains de la musique, jouée alternativement sur guitare électrique et guembri par l’artiste et son compagnon. Mais coup de théâtre, le spectacle a été arrêté pour cette dernière journée du Festival vers minuit plutôt que vers 2h comme d’habitude, une frustration inattendue pour ces familles et ces jeunes, mais toutefois tempérée par une note d’optimisme des organisateurs qui ont promis au public la réédition de la fête l’an prochain. Le 1er prix symbolique de participation a été décerné à la troupe de Sidi Blel Mascara, le 2e à la troupe Diwane d’Alger, et le 3e est revenu à Brahim, doyen de la troupe Diwane de Debdaba.
Le Festival de la musique gnaouie s’est achevé dans l’apothéose. Combien étaient-ils jeudi, dernière journée du Festival au stade Nasr ? Cinq mille ? Dix mille ? Difficile d’évaluer le nombre d’admirateurs et de supporters qui ont envahi le stade archi-comble pour assister au dernier concert de chant de Hasna Bacharira, leur idole préférée. Ils sont venus de toutes les cités et quartiers de la ville. Et ils ne seront pas déçus. La chanteuse, tant attendue, a galvanisé la foule avec sa première et célèbre chanson El Djaïr Jouhara, une foule composée à majorité de femmes et de jeunes. Trois chansons de Hasna ont suffi pour ébranler les gradins du stade où se mêlaient danses, sifflements et applaudissements nourris, à mesure de la tonalité des sons et de la cadence des refrains de la musique, jouée alternativement sur guitare électrique et guembri par l’artiste et son compagnon. Mais coup de théâtre, le spectacle a été arrêté pour cette dernière journée du Festival vers minuit plutôt que vers 2h comme d’habitude, une frustration inattendue pour ces familles et ces jeunes, mais toutefois tempérée par une note d’optimisme des organisateurs qui ont promis au public la réédition de la fête l’an prochain. Le 1er prix symbolique de participation a été décerné à la troupe de Sidi Blel Mascara, le 2e à la troupe Diwane d’Alger, et le 3e est revenu à Brahim, doyen de la troupe Diwane de Debdaba.
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