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Abdelqahar, fils de Ali Benhadj condamné à la peine capitale par coutumance

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  • Abdelqahar, fils de Ali Benhadj condamné à la peine capitale par coutumance

    Le fils de Ali Benhadj, Abdelqahar alias Mouaouia, et 12 de ses acolytes dont Farid Ouydird, Abdelkader Selami, Bab Ali Ahcène ont été condamnés hier par coutumance à la peine capitale par la cour de Tizi-Ouzou.

    Pour sa part, Saïd Abdelkrim alias Abou Messaâd, qui fut arrêté le 8 septembre 2007, a écopé de 10 ans de prison ferme pour appartenance au même groupe terroriste.

    Un groupe qui a à son actif plusieurs attentats perpétrés dans différentes régions de la wilaya de Tizi-Ouzou. Il est l’auteur à titre d’exemple du meurtre de sept gendarmes, à Takhoukht, ainsi que du kidnaping du ressortissant égyptien. Abdelqahar Benhadj et ses acolytes sont reconnus coupables de l’attentat avorté qui a ciblé le wali en 2007.

    Plusieurs faux barrages ont été également dressés par ces derniers c’est en tout cas ce qu’a déclaré aux services de sécurité S. A., alias Abou Messaâb après son arrestation à Tadmaït en possession d’une kalachnikov. Selon l’arrêt de renvoi, il s’apprêtait à perpétrer un autre attentat. Hier, l’accusé a nié les faits soutenant qu’il n’vait commis aucun acte, mais qu’il ne faisait que le ménage dans la kasma où il avait été emmené en 2007, l’année de son recrutement par le groupe terroriste en question.

    Ces premières déclarations aux services de sécurité attestent que ce dernier était un membre actif au sein du groupe, il aurait même participé aux côtés du fils de Ali Benhadj à l’attentat de Takhoukht qui avait ravi la vie à sept gendarmes. Le procureur a d’ailleurs requis contre lui la peine capitale. Il est à noter que lors du procès d’hier auquel a assisté Ali Benhadj, a comparu également le dénommé C. Y., qui a été innocenté et relaxé après avoir été prouvé grâce, notamment au terroriste condamné et aux déclarations d’autres témoins, qu’il ne s'agissait pas du terroriste, Youcef Intik, recherché. En fait, la police s’est trompée de cible à cause des noms. Il se trouve que le terroriste recherché et la pauvre personne arrêtée portent les mêmes nom et prénom ( C. Y).

    Par la dépêche de Kabylie
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