Sans aucun scrupule, ni respect de l’éthique journalistique, certains titres de la presse arabophone, connus pour leur hostilité à l’égard de la Kabylie, font de la «kabylophobie» leur choux-gras et l’essentiel de leurs ventes.
Ainsi, sans évoquer les reportages imaginaires «réalisés» en Kabylie, à propos du christianisme, la haine distillée tout au long de leurs pages, et même en «Une», comme celle d’une édition d’hier, à propos de la grippe porcine, la Kabylie est devenue un abcès de fixation, où tous les ennemis de cette région trouve un canal pour une expression haineuse via ces titres qu’aucune institution nationale n’a daigné rappeler à l’ordre.
L’on se souvient des papiers incendiaires, publiés par l’un de ces titres, contre des personnalités de la Kabylie, contre le club des Canaris, contre le mouvement citoyen…Des appels aux meurtres aussi sont publiés, surtout lorsque l’on sait que le pays est toujours soumis à une pression terroriste islamiste activant essentiellement en Kabylie.
Désigner à la vindicte nationale, la Kabylie comme ennemi à abattre politiquement est aussi dangereux, tout comme les terroristes islamistes qui promettent le Seif El Hadjadj aux Kabyles. Ces titres s’éreintent à présenter la Kabylie comme une région non musulmane et impie.
Même El Khabbar s’est enlisée dans cette compagne d’”antikabylisme”, notamment avec la publication d’un article peu élogieux à l’égard de M. Ferhat Mehenni.
Cette campagne des plus racistes et des plus dangereuses fait que le peu de crédit dont jouit la presse algérienne, s’effrite devant ces pratiques délictueuses vu la loi qui régit le monde de l’information et de l’éthique journalistique. La place peu honorable qu’occupe actuellement la presse, soumise, par ailleurs, aux ordres des cercles politiques de tout acabit, s’enfonce davantage dans un traitement régionaliste et xénophobe de l’information.
Ces auteurs ne sont que des «bouchés à l'émeri» comme on dit si bien dans ce genre de circonstances. Alors que les autorités concernées s’en lavent les mains dans cette affaire qui dure depuis, les auteurs de ces attaques réalisent «leur forfait» sans coup férir dans des rédactions qui devraient, d’abord, être un lieu de débat serein et surtout responsable. Nos rédactions deviennent, ainsi, «des écuries d'Augias», dont des solutions de nettoyage radicales s’imposent, et cela, avant que la situation ne s’enlise, et ce d’une part ou de l’autre.
Par la Dépêche de Kabylie
Ainsi, sans évoquer les reportages imaginaires «réalisés» en Kabylie, à propos du christianisme, la haine distillée tout au long de leurs pages, et même en «Une», comme celle d’une édition d’hier, à propos de la grippe porcine, la Kabylie est devenue un abcès de fixation, où tous les ennemis de cette région trouve un canal pour une expression haineuse via ces titres qu’aucune institution nationale n’a daigné rappeler à l’ordre.
L’on se souvient des papiers incendiaires, publiés par l’un de ces titres, contre des personnalités de la Kabylie, contre le club des Canaris, contre le mouvement citoyen…Des appels aux meurtres aussi sont publiés, surtout lorsque l’on sait que le pays est toujours soumis à une pression terroriste islamiste activant essentiellement en Kabylie.
Désigner à la vindicte nationale, la Kabylie comme ennemi à abattre politiquement est aussi dangereux, tout comme les terroristes islamistes qui promettent le Seif El Hadjadj aux Kabyles. Ces titres s’éreintent à présenter la Kabylie comme une région non musulmane et impie.
Même El Khabbar s’est enlisée dans cette compagne d’”antikabylisme”, notamment avec la publication d’un article peu élogieux à l’égard de M. Ferhat Mehenni.
Cette campagne des plus racistes et des plus dangereuses fait que le peu de crédit dont jouit la presse algérienne, s’effrite devant ces pratiques délictueuses vu la loi qui régit le monde de l’information et de l’éthique journalistique. La place peu honorable qu’occupe actuellement la presse, soumise, par ailleurs, aux ordres des cercles politiques de tout acabit, s’enfonce davantage dans un traitement régionaliste et xénophobe de l’information.
Ces auteurs ne sont que des «bouchés à l'émeri» comme on dit si bien dans ce genre de circonstances. Alors que les autorités concernées s’en lavent les mains dans cette affaire qui dure depuis, les auteurs de ces attaques réalisent «leur forfait» sans coup férir dans des rédactions qui devraient, d’abord, être un lieu de débat serein et surtout responsable. Nos rédactions deviennent, ainsi, «des écuries d'Augias», dont des solutions de nettoyage radicales s’imposent, et cela, avant que la situation ne s’enlise, et ce d’une part ou de l’autre.
Par la Dépêche de Kabylie
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