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Sahel : l’Algérie va participer à des manouvres militaires conjointes avec des pays de la région
L'armée algérienne participera dans les prochaines jours à des manœuvres militaires conjointes avec d'autres pays voisins dans la région du Sahel, a indiqué à tsa- une source proche du ministère de la Défense nationale. Le Mali, le Niger et la Mauritanie devraient prendre part à ces manœuvres, les premières du genre dans cette zone instable où se côtoient les terroristes d'Al-Qaïda au Maghreb, les réseaux de trafic d'armes et de drogue.
Notre source n'a pas avancé de date pour le début des manœuvres. Mais ces dernières seraient imminentes. D'importantes troupes des forces terrestres et aériennes fortement équipées ont été déployées ces derniers jours dans la région pour prendre part à ces manoeuvres.
Aucune action militaire n'est prévue dans cette zone, selon la même source. Récemment, des informations ont fait état de la préparation d'une offensive militaire conjointe des armées de ces pays contre les troupes du GSPC, devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans la région du Sahel. Mais une telle offensive peut difficilement être menée. Les groupes du GSPC dans le Sahel sont très mobiles et difficiles à localiser. « Dans le cas de leur localisation, l'armée algérienne peut mener toute seule une telle opération. Nous avons les équipements et les forces nécessaires », explique notre source.
Autre souci : les armées des pays concernés ne sont pas préparées à mener des opérations communes. De telles actions exigent une coordination et des moyens importants. Or, hormis l'armée algérienne, celles des autres pays concernées sont faiblement équipées. D'ailleurs, la semaine dernière, l'Algérie avait envoyé une importante aide militaire au Mali, dans le cadre du renforcement de la coopération entre les armées des deux pays voisins. L'armée nigérienne, également faiblement équipée, pourrait bénéficier d'une aide similaire.
Par ailleurs, une source proche du gouvernement a démenti l'existence de divergences avec le Mali sur la question de la lutte contre le terrorisme. « Il y a la question difficile des Touaregs que nous essayons de gérer ensemble. C'est un dossier difficile qui nécessite un suivi permanent de toutes les parties concernées », explique notre source.
tsa
L'armée algérienne participera dans les prochaines jours à des manœuvres militaires conjointes avec d'autres pays voisins dans la région du Sahel, a indiqué à tsa- une source proche du ministère de la Défense nationale. Le Mali, le Niger et la Mauritanie devraient prendre part à ces manœuvres, les premières du genre dans cette zone instable où se côtoient les terroristes d'Al-Qaïda au Maghreb, les réseaux de trafic d'armes et de drogue.
Notre source n'a pas avancé de date pour le début des manœuvres. Mais ces dernières seraient imminentes. D'importantes troupes des forces terrestres et aériennes fortement équipées ont été déployées ces derniers jours dans la région pour prendre part à ces manoeuvres.
Aucune action militaire n'est prévue dans cette zone, selon la même source. Récemment, des informations ont fait état de la préparation d'une offensive militaire conjointe des armées de ces pays contre les troupes du GSPC, devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans la région du Sahel. Mais une telle offensive peut difficilement être menée. Les groupes du GSPC dans le Sahel sont très mobiles et difficiles à localiser. « Dans le cas de leur localisation, l'armée algérienne peut mener toute seule une telle opération. Nous avons les équipements et les forces nécessaires », explique notre source.
Autre souci : les armées des pays concernés ne sont pas préparées à mener des opérations communes. De telles actions exigent une coordination et des moyens importants. Or, hormis l'armée algérienne, celles des autres pays concernées sont faiblement équipées. D'ailleurs, la semaine dernière, l'Algérie avait envoyé une importante aide militaire au Mali, dans le cadre du renforcement de la coopération entre les armées des deux pays voisins. L'armée nigérienne, également faiblement équipée, pourrait bénéficier d'une aide similaire.
Par ailleurs, une source proche du gouvernement a démenti l'existence de divergences avec le Mali sur la question de la lutte contre le terrorisme. « Il y a la question difficile des Touaregs que nous essayons de gérer ensemble. C'est un dossier difficile qui nécessite un suivi permanent de toutes les parties concernées », explique notre source.
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