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La salle du petit théâtre de la Maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou s’est avérée trop exiguë pour contenir l’engouement d’un public averti et attentif au programme proposé en ce mardi 5 mai.
En effet, était prévue une présentation inédite du célèbre ouvrage de Mouloud Feraoun : “Le Fils du pauvre”. C’est la troupe du théâtre du Grabuge de la ville de Lyon qui s’est mise de la partie en proposant un genre unique de présentation.
En effet, les responsables de la troupe théâtrale ont fait participer des étudiants et étudiantes, des membres d’associations, des écoliers comme pour symboliser Fouroulou à l’école et les citoyens du village natal de Feraoun Tizi Hibel. Chaque groupe était disposé selon une suite du récit romancé pour organiser, sous une forme partagée et très pédagogique, la lecture de textes. Les groupes représentaient les personnages du roman.
Ils étaient mixtes et au nombre de sept, dirigés par le magistral Sylvain et la non moins professionnelle Magali. Il y eu des entractes entre chaque passage.
Ces moments passerelles étaient animés par le nouveau rossignol du chant berbère : le talentueux Salah Gawa suivi du luthiste Zami venu de Tiaret.
Sylvain trouvait le malin plaisir de faire participer le public de toute la salle sur des moments particuliers et sous le regard plein d’attention de Ludivine dans son rôle d’administratrice de la troupe. La représentation est un nouveau genre qui se place entre la chorégraphie, le théâtre classique et un cours de lecture magistral d’une classe. C’est du tout nouveau qui devrait donner à réfléchir au velléitaire ministère de l’Education qui continu de “traîner” une école sclérosée et sinistrée.
La rencontre a été rehaussée par la présence des enfants de l’écrivain : Ali, Mokrane et Fazia Feraoun que le public s’est empressé de rencontrer en fin de présentation.
Par la Dépêche de Kabylie
En effet, était prévue une présentation inédite du célèbre ouvrage de Mouloud Feraoun : “Le Fils du pauvre”. C’est la troupe du théâtre du Grabuge de la ville de Lyon qui s’est mise de la partie en proposant un genre unique de présentation.
En effet, les responsables de la troupe théâtrale ont fait participer des étudiants et étudiantes, des membres d’associations, des écoliers comme pour symboliser Fouroulou à l’école et les citoyens du village natal de Feraoun Tizi Hibel. Chaque groupe était disposé selon une suite du récit romancé pour organiser, sous une forme partagée et très pédagogique, la lecture de textes. Les groupes représentaient les personnages du roman.
Ils étaient mixtes et au nombre de sept, dirigés par le magistral Sylvain et la non moins professionnelle Magali. Il y eu des entractes entre chaque passage.
Ces moments passerelles étaient animés par le nouveau rossignol du chant berbère : le talentueux Salah Gawa suivi du luthiste Zami venu de Tiaret.
Sylvain trouvait le malin plaisir de faire participer le public de toute la salle sur des moments particuliers et sous le regard plein d’attention de Ludivine dans son rôle d’administratrice de la troupe. La représentation est un nouveau genre qui se place entre la chorégraphie, le théâtre classique et un cours de lecture magistral d’une classe. C’est du tout nouveau qui devrait donner à réfléchir au velléitaire ministère de l’Education qui continu de “traîner” une école sclérosée et sinistrée.
La rencontre a été rehaussée par la présence des enfants de l’écrivain : Ali, Mokrane et Fazia Feraoun que le public s’est empressé de rencontrer en fin de présentation.
Par la Dépêche de Kabylie