C’est dur vous savez
D’habiter le miroir
Et de surveiller toute ombre
Qui bouge
malgré tout Matoub chante
Sans crainte des ombromanes
comme s’il trouve une beauté plus patiente
La vertu par le chant
Il cherche son identité avec sincérité, dans la ville en loque
Qui piége les anges.
La nuit, dans son navire miraculeux
Il fait l’ascension du ciel
Parcourt les chemins équilibrés
Les prairies creuses
Les champs pluvieux
Il voit dieu le nocturne
Au seuil de son palais
Aux lueurs de l’aube
Il retombe sur terre
Ses mains pleines de riches trésors.
D’habiter le miroir
Et de surveiller toute ombre
Qui bouge
malgré tout Matoub chante
Sans crainte des ombromanes
comme s’il trouve une beauté plus patiente
La vertu par le chant
Il cherche son identité avec sincérité, dans la ville en loque
Qui piége les anges.
La nuit, dans son navire miraculeux
Il fait l’ascension du ciel
Parcourt les chemins équilibrés
Les prairies creuses
Les champs pluvieux
Il voit dieu le nocturne
Au seuil de son palais
Aux lueurs de l’aube
Il retombe sur terre
Ses mains pleines de riches trésors.
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