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14 projets de partenariat en cinq ans

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  • 14 projets de partenariat en cinq ans

    Le partenariat est un mode privilégié de réalisation de projets en Algérie. Il touche pratiquement tous les secteurs et domaines.

    Quatorze projets de partenariat entre les entreprises algériennes et étrangères ont été réalisés durant ces cinq dernières années, cinq autres projets sont encore en phase de réalisation.
    Le secteur des matériaux de construction a décroché la part du lion dans les opérations de partenariat, dont quatre sont déjà entamées, à savoir l'ouverture du capital de l'usine de ciment de Béni-Saf (10 %) au profit du groupe Saoudien "Pharaon Commercial Investment Group ltd." , le reste (25 %) sera effectué pour 2008, l'ouverture du capital du Complexe de plâtre "Floris Kadil" d'Oran, à 50 %, au profit d'une entreprise allemande, l'ouverture du capital de l'unité de production de liège "Taliza", dans la ville de Collo. La quatrième opération est liée à l'ouverture du capital de l'unité de liège d'Aokas, Béjaia, au profit de l'entreprise espagnole "Tri Venus".
    Dans le secteur de l'industrie agro-alimentaire, un partenariat a été conclu, en 2005, entre la Société nationale des tabacs et allumettes (SNTA), et un groupe émirati pour la production de tabac. En vertu de ce partenariat, le groupe émirati détient 51 % des parts tandis que la SNTA en a 49 %.
    Par ailleurs, une société mixte algéro-française, sous le nom de Somecoton, a été créée en 2003, en partenariat entre le groupe Texmaco (40 %) et la société cotonnière française Dagris (60 %), dans le but de développer la production du coton en Algérie.
    D'autres partenariats ont également vu le jour, tel que celui lié à l'exploitation du fer et de l'acier entre Ispat-Metal & Steal et Sidar. En matière de chimie et pharmacie entre Albomed et Saidal. En mécanique, la française "Matic" détient 55 % du capital de "Batinco", outre le partenariat entre la Société national des véhicules industriels (SNVI) et l'entreprise allemande "ZF".

    Source: Elkhabar

  • #2
    C sest beau tout ca, mais tant que la corruption à grande echelle règne en maitre en Algérie, ils finiront par partir, en jurant ne plus jamais revenir!
    Moi Akel, je veux juste ma part de revenus de petrole !

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