Lugana, pitoyable est le mot
Je suis stupéfaite de lire certaines interventions.
Tamerlan, tes propos sont choquants au delà de toute expression.
Tu te confis littéralement dans la religion, tu prends tout au pied de la lettre sans aucun recul. Tu es la personnification même de l'étroitesse d'esprit étriquée malgré le cursus scolaire. En un mot, tu es consternant de bêtise.
Le pire, c'est que tu es sensé avoir un minimum de compassion envers l'être humain de par ta formation.
Ce sont des gosses bon sang qu'on a tué !!! Qu'ont-ils pu commettre de si monstrueux qui justifie une telle torture et une telle fin?
Qui es-tu pour décider qu'un crime aussi crapuleux a valeur d'exemple et est salutaire? Veux-tu être Dieu à la place de Dieu?
Est-ce que tu as la moindre idée de ce que traversent les parents?
Combien la route est encore longue pour eux, combien elle est aride et douleureuse, comment à force de souffrances ils vont avancer en automates, n'ayant pour tout répit (peut-être) que les quelques heures où ils sombreront dans un sommeil qui n'a plus rien de réparateur et qui sera le plus souvent artificiel.
Une route dont on ne voit jamais le bout, avec pour seule consolation la certitude que le jour écoulé est un de moins à vivre dans l'attente du sommeil définitif.
Je suis stupéfaite de lire certaines interventions.
Tamerlan, tes propos sont choquants au delà de toute expression.
Tu te confis littéralement dans la religion, tu prends tout au pied de la lettre sans aucun recul. Tu es la personnification même de l'étroitesse d'esprit étriquée malgré le cursus scolaire. En un mot, tu es consternant de bêtise.
Le pire, c'est que tu es sensé avoir un minimum de compassion envers l'être humain de par ta formation.
Ce sont des gosses bon sang qu'on a tué !!! Qu'ont-ils pu commettre de si monstrueux qui justifie une telle torture et une telle fin?
Qui es-tu pour décider qu'un crime aussi crapuleux a valeur d'exemple et est salutaire? Veux-tu être Dieu à la place de Dieu?
Est-ce que tu as la moindre idée de ce que traversent les parents?
Combien la route est encore longue pour eux, combien elle est aride et douleureuse, comment à force de souffrances ils vont avancer en automates, n'ayant pour tout répit (peut-être) que les quelques heures où ils sombreront dans un sommeil qui n'a plus rien de réparateur et qui sera le plus souvent artificiel.
Une route dont on ne voit jamais le bout, avec pour seule consolation la certitude que le jour écoulé est un de moins à vivre dans l'attente du sommeil définitif.
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