Alertés par des voisins, dans l’après-midi de mercredi, les services de la Protection civile de la wilaya de Annaba se sont dépêchés au niveau du lieu-dit Le Vivier, situé à l’extrême nord de la corniche annabie, pour éteindre un incendie qui s’est déclaré dans un cabanon. A l’intérieur, ils ont découvert les corps d’un jeune couple totalement calcinés.
Ces deux jeunes, un homme et une femme, dont l’âge ne dépasse pas les 24 ans, se fréquente depuis plus de huit ans. La jeune femme (23 ans), qui porte le prénom de Sana, est originaire de Annaba et réside au niveau de la Vieille-ville (place d’Armes). Son compagnon (A. B.) est également originaire de la même ville et fils d’un homme d’affaires. Le cabanon dans lequel ils avaient passé la journée du mercredi a été totalement détruit par les flammes. Quant aux corps des deux jeunes victimes, entièrement carbonisés par le feu, il ont été difficilement identifiés par leurs proches.
A ce stade de l’enquête, on n’a pas encore pu déterminer avec exactitude s’il s’agit d’un incendie accidentel ou criminel. Cependant, selon certains indices et la personnalité des deux victimes, il pourrait s’agir d’un acte criminel prémédité. Cette thèse, selon plusieurs témoignages recueillis auprès de certains proches du jeune couple, est plus que probable. Il y a lieu de signaler que durant la journée du mercredi où s’est déclaré le sinistre, il faisait un temps radieux à Annaba. D’où l’exclusion de l’utilisation du chauffage. D’autre part, à l’intérieur du cabanon, les agents de la Protection civile n’ont découvert aucun équipement de chauffage, à l’exception d’une chicha. Ce qui laisse supposer qu’il s’agirait d’un règlement de compte, et par conséquent, l’incendie serait d’origine criminelle. Au quel cas, le ou les auteurs connaissaient bien leurs victimes.
Les criminels n’ont laissé aucune trace apparente qui puisse les identifier, vu que les lieux ont été totalement ravagés par le feu. A priori, et bien que la thèse de la chicha comme cause du sinistre n’est pas écartée et même si les enquêteurs de la gendarmerie en collaboration avec leurs collègues de la Protection civile parviennent à découvrir l’origine du sinistre, il leur sera extrêmement difficile d’identifier le ou les auteurs. Contrairement à ce qui se colporte de bouche à oreille, le cabanon incendié n’appartient pas au jeune couple. Il leur a été prêté pour la journée du mercredi par un ami commun, militaire à la retraire qui exerçait au niveau du bureau de recrutement de Annaba. A l’heure où nous mettons sous presse, les deux corps sont soumis à une autopsie et à un test ADN pour déterminer avec précision les véritables causes de leur mort et leur identification génétique. Territorialement confiée à la brigade maritime du groupement de gendarmerie de Annaba, l’enquête préliminaire ne connaîtra son épilogue que dans plusieurs semaines. A condition, bien sûr, de découvrir les indices menant vers le ou les criminels, au cas où il s’agit d’un acte volontaire accompli par des tiers.
DERNIÈRE MINUTE : Les victimes torturées au chalumeau
A en croire des sources proches des enquêteurs, il semble désormais établi que les deux victimes ont été torturées au chalumeau avant de succomber à leurs brûlures. Ce qui prouve qu’il s’agit bel et bien d’un acte criminel.
Par le soir
Ces deux jeunes, un homme et une femme, dont l’âge ne dépasse pas les 24 ans, se fréquente depuis plus de huit ans. La jeune femme (23 ans), qui porte le prénom de Sana, est originaire de Annaba et réside au niveau de la Vieille-ville (place d’Armes). Son compagnon (A. B.) est également originaire de la même ville et fils d’un homme d’affaires. Le cabanon dans lequel ils avaient passé la journée du mercredi a été totalement détruit par les flammes. Quant aux corps des deux jeunes victimes, entièrement carbonisés par le feu, il ont été difficilement identifiés par leurs proches.
A ce stade de l’enquête, on n’a pas encore pu déterminer avec exactitude s’il s’agit d’un incendie accidentel ou criminel. Cependant, selon certains indices et la personnalité des deux victimes, il pourrait s’agir d’un acte criminel prémédité. Cette thèse, selon plusieurs témoignages recueillis auprès de certains proches du jeune couple, est plus que probable. Il y a lieu de signaler que durant la journée du mercredi où s’est déclaré le sinistre, il faisait un temps radieux à Annaba. D’où l’exclusion de l’utilisation du chauffage. D’autre part, à l’intérieur du cabanon, les agents de la Protection civile n’ont découvert aucun équipement de chauffage, à l’exception d’une chicha. Ce qui laisse supposer qu’il s’agirait d’un règlement de compte, et par conséquent, l’incendie serait d’origine criminelle. Au quel cas, le ou les auteurs connaissaient bien leurs victimes.
Les criminels n’ont laissé aucune trace apparente qui puisse les identifier, vu que les lieux ont été totalement ravagés par le feu. A priori, et bien que la thèse de la chicha comme cause du sinistre n’est pas écartée et même si les enquêteurs de la gendarmerie en collaboration avec leurs collègues de la Protection civile parviennent à découvrir l’origine du sinistre, il leur sera extrêmement difficile d’identifier le ou les auteurs. Contrairement à ce qui se colporte de bouche à oreille, le cabanon incendié n’appartient pas au jeune couple. Il leur a été prêté pour la journée du mercredi par un ami commun, militaire à la retraire qui exerçait au niveau du bureau de recrutement de Annaba. A l’heure où nous mettons sous presse, les deux corps sont soumis à une autopsie et à un test ADN pour déterminer avec précision les véritables causes de leur mort et leur identification génétique. Territorialement confiée à la brigade maritime du groupement de gendarmerie de Annaba, l’enquête préliminaire ne connaîtra son épilogue que dans plusieurs semaines. A condition, bien sûr, de découvrir les indices menant vers le ou les criminels, au cas où il s’agit d’un acte volontaire accompli par des tiers.
DERNIÈRE MINUTE : Les victimes torturées au chalumeau
A en croire des sources proches des enquêteurs, il semble désormais établi que les deux victimes ont été torturées au chalumeau avant de succomber à leurs brûlures. Ce qui prouve qu’il s’agit bel et bien d’un acte criminel.
Par le soir
Commentaire