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On comprend mieux, maintenant pourquoi la SNTA, a un bon chiffre d'affaire.
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ALGER (AP) - Plus de 3.000 nouveaux cas de cancer pulmonaire sont diagnostiqués chaque année en Algérie, selon le Dr Saïd Ameur, président de la Société algérienne d'oncologie thoracique (SAOT).
"Ce chiffre connaîtra une ascension dans les décennies à venir dans la mesure où les Algériens commencent à fumer dès leur jeune âge et les aides au sevrage du tabagisme n'existent pas en Algérie", a-t-il déclaré samedi lors d'une conférence de presse de présentation d'une journée scientifique internationale sur le médicament générique en oncologie, prévue le 27 novembre prochain à Alger.
Dans la typologie des cancer diagnostiqués, celui thorax est la variété qui tue le plus chez l'homme, a ajouté le Dr Ameur, précisant que sa prise en charge médicale revient chère aux autorités sanitaires.
"Un milliard de dollars est déboursé annuellement dans l'achat des médicaments en oncologie et sur 100 nouveaux cas de cancer pulmonaire diagnostiqués, plus de 80 personnes ont trouvé la mort dans les cinq années qui ont suivi le diagnostic", a-t-il encore affirmé. En outre "75% des personnes atteintes par ce cancer se retrouvent dans l'obligation de suivre une chimiothérapie".
Pour le président de la société algérienne d'oncologie le secteur public est dans l'incapacité d'assurer une prise en charge gratuite, régulière et ininterrompue aux malades atteints par le cancer thoracique en raison du coût élevé du traitement.
L'alternative, selon lui, serait de développer l'utilisation du médicament générique qu'il considère comme "un des éléments qui pourront nous permettre de faire des économies". AP
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ALGER (AP) - Plus de 3.000 nouveaux cas de cancer pulmonaire sont diagnostiqués chaque année en Algérie, selon le Dr Saïd Ameur, président de la Société algérienne d'oncologie thoracique (SAOT).
"Ce chiffre connaîtra une ascension dans les décennies à venir dans la mesure où les Algériens commencent à fumer dès leur jeune âge et les aides au sevrage du tabagisme n'existent pas en Algérie", a-t-il déclaré samedi lors d'une conférence de presse de présentation d'une journée scientifique internationale sur le médicament générique en oncologie, prévue le 27 novembre prochain à Alger.
Dans la typologie des cancer diagnostiqués, celui thorax est la variété qui tue le plus chez l'homme, a ajouté le Dr Ameur, précisant que sa prise en charge médicale revient chère aux autorités sanitaires.
"Un milliard de dollars est déboursé annuellement dans l'achat des médicaments en oncologie et sur 100 nouveaux cas de cancer pulmonaire diagnostiqués, plus de 80 personnes ont trouvé la mort dans les cinq années qui ont suivi le diagnostic", a-t-il encore affirmé. En outre "75% des personnes atteintes par ce cancer se retrouvent dans l'obligation de suivre une chimiothérapie".
Pour le président de la société algérienne d'oncologie le secteur public est dans l'incapacité d'assurer une prise en charge gratuite, régulière et ininterrompue aux malades atteints par le cancer thoracique en raison du coût élevé du traitement.
L'alternative, selon lui, serait de développer l'utilisation du médicament générique qu'il considère comme "un des éléments qui pourront nous permettre de faire des économies". AP
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