Exclusif “Dda Smaïl”, Le père de Zinedine Zidane ouvre son cœur à la Dépêche de Kabylie“Zinedine est très attaché à ses origines kabyles”Malgré la notoriété des Zidane, la famille est restée humble : les pieds sur terre et la tête sur les épaules. Un détail : elle n’a jamais quitté Marseille où elle a toujours vécu. Même Zizou, établi à Madrid depuis qu’il avait rejoint l’équipe première de la ville, n’a jamais rompu avec la cité phocéenne. Il a peut-être perdu des cheveux mais rien de sa pensée pour cette carrieèere exemplaire qu’il a accomplie et cette notoriété qui est sienne aujourd’hui. Zizou n’a pas oublié, ses origines kabyles. Son paternel en parle… On l’avait rencontré en marge du concert donné par Aït Menguellet jeudi dernier à Marseille.
De notre envoyé spécial à Marseille, Djaffar Chilab
La Dépêche de Kabylie : Tout d’abord merci de la disponibilité que vous nous montrez…
Non, c’est moi qui vous remercie. Y a pas de soucis, ça me fait plaisir de m’adresser à un journal de chez moi.
Smaïl Zidane : La notoriété de votre fils Zinedine a débordé sur la famille. Toutes ces sollicitations ne vous ennuient-elles pas à la longue ?
Non, il n y’a aucun problème de ce côté, ça ne m’ennuie pas du tout, ce n’est que de la réjouissance, et les gens qui viennent vers moi ne partagent que de belles choses, alors autant associer tous ceux qui veulent se joindre a nous.
L’essentiel est qu’il n’y ait pas d’intention de nuire. Je ne fuirai jamais l’amitié de tel ou la fraternité d’untel.
Vous confirmez que vous êtes toujours établis ici à Marseille ?
Tout à fait, je vis toujours à Marseille avec ma famille, seul Zinedine manque puisqu’il s’est installé en Espagne.
Il vous rend souvent visite ?
Oui, dès qu’il a un moment, il n’hésite pas à rentrer. D’ailleurs pas plus loin que la semaine dernière, il est venu passer trois jours avec nous. Tout le monde va bien et on est à chaque fois heureux de se retrouver.
Il n’a pas encore décidé de rentrer définitivement ?
C’est son choix, il en fait ce qu’il veut mais pour l’heure, il est toujours en Espagne. S’il y vit encore c’est qu’il s’y plaît.
Lorsque vous vous réunissez, vous évoquez thamurth ?
On parle d’un peu de tout, comme dans chaque discussion qui réunit un père et son fils. On parle du nif, le respect de l’autre, thamurth, thaqvaylith, la Kabylie, et de l’Algérie en général.
Et vous le taquinez toujours de quelques mots en kabyle ?
Mais oui, je le fais souvent.
ça lui arrive de vous répondre dans la même langue ?
Oui, et chez nous ça n’a rien d’extraordinaire. Il m’appelle Vava, il me dit Alkhir, Bqa Ala Khir, enfin des trucs classiques comme ça c’est courant entre nous.
Que vous a-t-il vous a dit en vous quittant lors de sa dernière visite la semaine dernière ?
Je vais vous faire une confidence
De notre envoyé spécial à Marseille, Djaffar Chilab
La Dépêche de Kabylie : Tout d’abord merci de la disponibilité que vous nous montrez…
Non, c’est moi qui vous remercie. Y a pas de soucis, ça me fait plaisir de m’adresser à un journal de chez moi.
Smaïl Zidane : La notoriété de votre fils Zinedine a débordé sur la famille. Toutes ces sollicitations ne vous ennuient-elles pas à la longue ?
Non, il n y’a aucun problème de ce côté, ça ne m’ennuie pas du tout, ce n’est que de la réjouissance, et les gens qui viennent vers moi ne partagent que de belles choses, alors autant associer tous ceux qui veulent se joindre a nous.
L’essentiel est qu’il n’y ait pas d’intention de nuire. Je ne fuirai jamais l’amitié de tel ou la fraternité d’untel.
Vous confirmez que vous êtes toujours établis ici à Marseille ?
Tout à fait, je vis toujours à Marseille avec ma famille, seul Zinedine manque puisqu’il s’est installé en Espagne.
Il vous rend souvent visite ?
Oui, dès qu’il a un moment, il n’hésite pas à rentrer. D’ailleurs pas plus loin que la semaine dernière, il est venu passer trois jours avec nous. Tout le monde va bien et on est à chaque fois heureux de se retrouver.
Il n’a pas encore décidé de rentrer définitivement ?
C’est son choix, il en fait ce qu’il veut mais pour l’heure, il est toujours en Espagne. S’il y vit encore c’est qu’il s’y plaît.
Lorsque vous vous réunissez, vous évoquez thamurth ?
On parle d’un peu de tout, comme dans chaque discussion qui réunit un père et son fils. On parle du nif, le respect de l’autre, thamurth, thaqvaylith, la Kabylie, et de l’Algérie en général.
Et vous le taquinez toujours de quelques mots en kabyle ?
Mais oui, je le fais souvent.
ça lui arrive de vous répondre dans la même langue ?
Oui, et chez nous ça n’a rien d’extraordinaire. Il m’appelle Vava, il me dit Alkhir, Bqa Ala Khir, enfin des trucs classiques comme ça c’est courant entre nous.
Que vous a-t-il vous a dit en vous quittant lors de sa dernière visite la semaine dernière ?
Je vais vous faire une confidence
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