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Le Parti travailliste atteint dimanche le niveau le plus bas de son histoire dans un sondage, un résultat susceptible de mettre le Premier ministre Gordon Brown en difficulté à un an, au plus, des législatives.
Affecté par la multiplication des scandales et confronté à une crise économique qu'il peine à juguler, le Labour est crédité de 23% des intentions de vote - son score le plus bas depuis l'apparition des sondages en 1943 - selon une étude BPIX pour le Mail on Sunday.
Les travaillistes accusent 22 points de retard sur les conservateurs et se retrouvent menacés par le Parti libéral qui obtient 17% des intentions de vote dans cette étude réalisée jeudi et vendredi.
Arrivé au pouvoir il y a deux ans en remplacement de Tony Blair, Gordon Brown doit convoquer des élections législatives d'ici mi-2010 au plus tard.
Cette étude est particulièrement sévère pour le chef du gouvernement, dont 52% des électeurs souhaiteraient la démission. Jamais une majorité d'électeurs n'avaient réclamé le départ d'un Premier ministre.
Un autre sondage publié par le Sunday Times est à peine plus clément, puisqu'il donne les conservateurs vainqueurs par 43% contre 27% si les élections avaient lieu aujourd'hui.
Dans un article qui accompagne cette étude, le journal promet au Labour, en recul de sept points par rapport à avril, un "coup de balai électoral".
Le gouvernement de Brown est ébranlé depuis quelques semaines par une série de scandales qui ont connu un nouvel épisode vendredi avec la publication par le Daily Telegraph d'informations sur les notes de frais excessives de ministres et parlementaires travaillistes.
Plusieurs responsables politiques auraient facturé des dépenses concernant des résidences secondaires, des vêtements féminins, des bandes dessinées ou des meubles pour des centaines de milliers de livres, précisait le quotidien samedi.
L'affaire est particulièrement malvenue dans une période de crise économique dont Gordon Brown, salué comme un des architectes de la réponse internationale à la crise financière, éprouve d'importantes difficultés à sortir le pay.
source : Reuters
Affecté par la multiplication des scandales et confronté à une crise économique qu'il peine à juguler, le Labour est crédité de 23% des intentions de vote - son score le plus bas depuis l'apparition des sondages en 1943 - selon une étude BPIX pour le Mail on Sunday.
Les travaillistes accusent 22 points de retard sur les conservateurs et se retrouvent menacés par le Parti libéral qui obtient 17% des intentions de vote dans cette étude réalisée jeudi et vendredi.
Arrivé au pouvoir il y a deux ans en remplacement de Tony Blair, Gordon Brown doit convoquer des élections législatives d'ici mi-2010 au plus tard.
Cette étude est particulièrement sévère pour le chef du gouvernement, dont 52% des électeurs souhaiteraient la démission. Jamais une majorité d'électeurs n'avaient réclamé le départ d'un Premier ministre.
Un autre sondage publié par le Sunday Times est à peine plus clément, puisqu'il donne les conservateurs vainqueurs par 43% contre 27% si les élections avaient lieu aujourd'hui.
Dans un article qui accompagne cette étude, le journal promet au Labour, en recul de sept points par rapport à avril, un "coup de balai électoral".
Le gouvernement de Brown est ébranlé depuis quelques semaines par une série de scandales qui ont connu un nouvel épisode vendredi avec la publication par le Daily Telegraph d'informations sur les notes de frais excessives de ministres et parlementaires travaillistes.
Plusieurs responsables politiques auraient facturé des dépenses concernant des résidences secondaires, des vêtements féminins, des bandes dessinées ou des meubles pour des centaines de milliers de livres, précisait le quotidien samedi.
L'affaire est particulièrement malvenue dans une période de crise économique dont Gordon Brown, salué comme un des architectes de la réponse internationale à la crise financière, éprouve d'importantes difficultés à sortir le pay.
source : Reuters