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Journaliste et auteur de nombreux livres, Youcef Zirem, originaire de la wilaya de Béjaïa, poursuit son aventure. Après son premier roman La Vie est un grand mensonge, Youcef Zirem publiera incessamment aux éditions Sefraber, le Chemin de l’éternité. Comme dans son premier roman, ainsi que dans son recueil de nouvelles L’âme de Sabrina, Youcef Zirem puise son vécu quotidien et son expérience journalistique. Une expérience qui est pour beaucoup dans l’imaginaire de cet auteur qui navigue avec aisance, entre l’art du roman, le plaisir de la poésie et les polémiques de l’essai politique.
Dans ce nouveau roman, Amina devient narratrice. Une femme au destin tragique mais qui n’a pas cédé à la fatalité en continuant d’affronter les monstruosités de l’existence avec courage et détermination. Violée par son père, émir islamiste, elle accouche d’un enfant qu’elle aime malgré tout. Après l’université, et pour élever ses deux frères, elle devient prostituée de luxe sur les hauteurs de la capitale...jusqu’à ce qu’elle rencontre Michel, un diplomate français à l’ambassade de France à Alger dont elle devient amoureuse...En filigrane, l’Algérie contemporaine est présente avec toutes les difficultés de vivre et de s’exprimer...
Le Printemps noir de Kabylie est aussi décrit car l’un des frères d’Amina y sera assassiné. Dans ce livre, Youcef Zirem plonge le lecteur dans l’histoire millénaire d’Alger et de Béjaïa, sa région natale.
La famille de Michel a également vécu en Algérie depuis des générations.
Après des études universitaires à l’Institut national des hydrocarbures de Boumerdès, Youcef Zirem exerce comme ingénieur à Sonatrach. Mais son amour de l’écriture le mène vers le journalisme qu’il exerce comme un véritable «nomade de la plume». Son caractère de rebelle et son aversion pour la routine le mènent à fréquenter le maximum de rédactions des journaux qui enrichiront son expérience. Mais Youcef Zirem finit par lâcher le journalisme pour s’occuper de l’écriture littéraire. Doucement mais sûrement, il commence à se frayer une carrière d’écrivain. Youcef Zirem a toutes les facultés pour aller loin dans l’art de l’écriture romanesque. Il lui manque juste un vivier où il pourrait puiser plus d’inspiration car le talent y est.
Par l'Expression
Dans ce nouveau roman, Amina devient narratrice. Une femme au destin tragique mais qui n’a pas cédé à la fatalité en continuant d’affronter les monstruosités de l’existence avec courage et détermination. Violée par son père, émir islamiste, elle accouche d’un enfant qu’elle aime malgré tout. Après l’université, et pour élever ses deux frères, elle devient prostituée de luxe sur les hauteurs de la capitale...jusqu’à ce qu’elle rencontre Michel, un diplomate français à l’ambassade de France à Alger dont elle devient amoureuse...En filigrane, l’Algérie contemporaine est présente avec toutes les difficultés de vivre et de s’exprimer...
Le Printemps noir de Kabylie est aussi décrit car l’un des frères d’Amina y sera assassiné. Dans ce livre, Youcef Zirem plonge le lecteur dans l’histoire millénaire d’Alger et de Béjaïa, sa région natale.
La famille de Michel a également vécu en Algérie depuis des générations.
Après des études universitaires à l’Institut national des hydrocarbures de Boumerdès, Youcef Zirem exerce comme ingénieur à Sonatrach. Mais son amour de l’écriture le mène vers le journalisme qu’il exerce comme un véritable «nomade de la plume». Son caractère de rebelle et son aversion pour la routine le mènent à fréquenter le maximum de rédactions des journaux qui enrichiront son expérience. Mais Youcef Zirem finit par lâcher le journalisme pour s’occuper de l’écriture littéraire. Doucement mais sûrement, il commence à se frayer une carrière d’écrivain. Youcef Zirem a toutes les facultés pour aller loin dans l’art de l’écriture romanesque. Il lui manque juste un vivier où il pourrait puiser plus d’inspiration car le talent y est.
Par l'Expression