Le train de midi
Un lac, une illusion, un mirage…des enfants
Des rires étouffés, des arbres touffus
Une rivière sans fond, que la diable drague
Un vieil homme raconte une histoire
Les enfants n’écoutent plus
J’ai raté le train de midi.
Un mirage, une illusion un rêve cadenassé
Des gens vont et viennes l’air hagard
L’un d’eux me dit « auriez-vous l’heure ? »
Une femme sans cou répond « il est dix heures »
Les enfants ont peur
J’ai raté le train de midi
Un lac, un rêve une impression de déjà vu
Un homme saoul titube, « je reviens de l’enfer…
Le diable vous transmet ses condoléances » dit-il
Un homme saoul titube, il ne connaît rien de l’enfer
Malgré que le feu qui circule dans ses veines
J’ai raté le train de midi.
Les enfants gisent sur le sol, est- ce un mirage ?
Un vieillard remonte son pantalon et s’enfuit
Une dame sans cou, est inconsolable
Malgré le feu de ces veines, le diable retrouve la raison
Il rattrape le vieillard et lui mastique le foie
Ils prétendent tous que j’aurais le temps…
De prendre le train de midi
Un banc en pierre, l’illusion d’une remise en question
Un enfant caché derrière un arbre touffu cherche sa mère
Le cou d’une femme dans sa main, « Elle brûle en enfer mon petit
…Elle y sera très heureuse, n’aies craintes »
Un homme qui me ressemble, prend l’enfant par le cœur
« Viens mon enfant, le train de midi ne va plus tarder…. »
J’ai dû sourire …
en les voyant courir…
Morad,
Un lac, une illusion, un mirage…des enfants
Des rires étouffés, des arbres touffus
Une rivière sans fond, que la diable drague
Un vieil homme raconte une histoire
Les enfants n’écoutent plus
J’ai raté le train de midi.
Un mirage, une illusion un rêve cadenassé
Des gens vont et viennes l’air hagard
L’un d’eux me dit « auriez-vous l’heure ? »
Une femme sans cou répond « il est dix heures »
Les enfants ont peur
J’ai raté le train de midi
Un lac, un rêve une impression de déjà vu
Un homme saoul titube, « je reviens de l’enfer…
Le diable vous transmet ses condoléances » dit-il
Un homme saoul titube, il ne connaît rien de l’enfer
Malgré que le feu qui circule dans ses veines
J’ai raté le train de midi.
Les enfants gisent sur le sol, est- ce un mirage ?
Un vieillard remonte son pantalon et s’enfuit
Une dame sans cou, est inconsolable
Malgré le feu de ces veines, le diable retrouve la raison
Il rattrape le vieillard et lui mastique le foie
Ils prétendent tous que j’aurais le temps…
De prendre le train de midi
Un banc en pierre, l’illusion d’une remise en question
Un enfant caché derrière un arbre touffu cherche sa mère
Le cou d’une femme dans sa main, « Elle brûle en enfer mon petit
…Elle y sera très heureuse, n’aies craintes »
Un homme qui me ressemble, prend l’enfant par le cœur
« Viens mon enfant, le train de midi ne va plus tarder…. »
J’ai dû sourire …
en les voyant courir…
Morad,
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