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40 milliards de barils de réserves algériennes en hydrocarbures
Mohamed Meziane P-dg de Sonatrach à la radio nationale
40 milliards de barils de réserves algériennes en hydrocarbures
L’Algérie a cumulé 40 milliards de barils de réserves en hydrocarbures, a déclaré hier le P-DG de Sonatrach, Mohamed Meziane.
Invité de la Radio nationale, M. Meziane a indiqué que ces réserves sont appelées à évoluer dans l’avenir une fois les projets d’investissement du groupe aboutis à l’intérieur du pays comme à l’extérieur. A ce sujet, Sonatrach est présente dans dix pays à travers le monde où elle opère dans le domaine du forage et de l’exploitation, soit seule soit en partenariat avec d’autres entreprises internationales, notamment en Afrique, en Asie et en Amérique latine. De plus, Sonatrach a réussi à réaliser sa plus importante découverte seule à l’étranger, en Libye. Sonatrach compte ainsi atteindre 6 millions de barils supplémentaires et 150 millions de dollars par an d’ici à 2015 de recettes en matière de services.
Par ailleurs, dans le domaine du gaz, plusieurs projets augmenteront les réserves de l’Algérie tels les projets Medgaz, le Galci, le TransMed, pour l’approvisionnement de l’Europe en gaz naturel.
M. Meziane demeure optimiste, car de son avis, le monde «a encore besoin des énergies fossiles». Cependant, l’Algérie est confrontée à un conflit l’opposant à l’Espagne sur le prix du gaz qui s’aligne sur celui du pétrole. L’Algérie a demandé la révision du prix du gaz cédé à l’Espagne, car celui du pétrole avait atteint les 150 dollars le baril et le contrat stipule, a-t-il rappelé, que cette révision du prix interviendrait tous les trois ans. Néanmoins, la conjoncture a imposé cette révision et chaque partie doit sauvegarder ses intérêts. Depuis, les Européens empêchent Sonatrach d’entrer sur son marché pendant que des groupes pétroliers européens sont présents en Algérie et activent sans blocage.
Comme il a signalé que les recettes de Sonatrach ont atteint 13,1 milliards de dollars durant les quatre premiers mois de 2009 tandis qu’une enveloppe de 63 milliards de dollars est consacrée aux investissements du groupe entre 2008 et 2012.
S’agissant de ces investissements, le P-DG de Sonatrach a souligné que les projets ne seront pas ajournés en dépit de la crise économique mondiale, car ces investissements ont été étudiés minutieusement et il table sur une reprise de la demande mondiale en pétrole vers la fin 2009 ou le début de 2010, car des signaux encourageant le prédisent d’autant que les prix actuels du pétrole ont repris autour de 58 dollars le baril et vont poursuivre cette évolution jusqu’à 60 dollars d’ici à la fin de l’année en cours. Toutefois, pour permettre aux entreprises de mener à bien leurs investissements, un prix oscillant entre 70 et 80 dollars est souhaitable.
La part de la production de l’Algérie au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) est de 1,2 million de barils/jour après l’application de la réduction de 200 000 barils/jour décidée en décembre 2008 à Oran par l’Opep sur une réduction totale cumulée de 4,2 mbj.
Le Jour d'Algérie
40 milliards de barils de réserves algériennes en hydrocarbures
L’Algérie a cumulé 40 milliards de barils de réserves en hydrocarbures, a déclaré hier le P-DG de Sonatrach, Mohamed Meziane.
Invité de la Radio nationale, M. Meziane a indiqué que ces réserves sont appelées à évoluer dans l’avenir une fois les projets d’investissement du groupe aboutis à l’intérieur du pays comme à l’extérieur. A ce sujet, Sonatrach est présente dans dix pays à travers le monde où elle opère dans le domaine du forage et de l’exploitation, soit seule soit en partenariat avec d’autres entreprises internationales, notamment en Afrique, en Asie et en Amérique latine. De plus, Sonatrach a réussi à réaliser sa plus importante découverte seule à l’étranger, en Libye. Sonatrach compte ainsi atteindre 6 millions de barils supplémentaires et 150 millions de dollars par an d’ici à 2015 de recettes en matière de services.
Par ailleurs, dans le domaine du gaz, plusieurs projets augmenteront les réserves de l’Algérie tels les projets Medgaz, le Galci, le TransMed, pour l’approvisionnement de l’Europe en gaz naturel.
M. Meziane demeure optimiste, car de son avis, le monde «a encore besoin des énergies fossiles». Cependant, l’Algérie est confrontée à un conflit l’opposant à l’Espagne sur le prix du gaz qui s’aligne sur celui du pétrole. L’Algérie a demandé la révision du prix du gaz cédé à l’Espagne, car celui du pétrole avait atteint les 150 dollars le baril et le contrat stipule, a-t-il rappelé, que cette révision du prix interviendrait tous les trois ans. Néanmoins, la conjoncture a imposé cette révision et chaque partie doit sauvegarder ses intérêts. Depuis, les Européens empêchent Sonatrach d’entrer sur son marché pendant que des groupes pétroliers européens sont présents en Algérie et activent sans blocage.
Comme il a signalé que les recettes de Sonatrach ont atteint 13,1 milliards de dollars durant les quatre premiers mois de 2009 tandis qu’une enveloppe de 63 milliards de dollars est consacrée aux investissements du groupe entre 2008 et 2012.
S’agissant de ces investissements, le P-DG de Sonatrach a souligné que les projets ne seront pas ajournés en dépit de la crise économique mondiale, car ces investissements ont été étudiés minutieusement et il table sur une reprise de la demande mondiale en pétrole vers la fin 2009 ou le début de 2010, car des signaux encourageant le prédisent d’autant que les prix actuels du pétrole ont repris autour de 58 dollars le baril et vont poursuivre cette évolution jusqu’à 60 dollars d’ici à la fin de l’année en cours. Toutefois, pour permettre aux entreprises de mener à bien leurs investissements, un prix oscillant entre 70 et 80 dollars est souhaitable.
La part de la production de l’Algérie au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) est de 1,2 million de barils/jour après l’application de la réduction de 200 000 barils/jour décidée en décembre 2008 à Oran par l’Opep sur une réduction totale cumulée de 4,2 mbj.
Le Jour d'Algérie