Jacqueline Guerroudj, moudjahida, doyenne des ex-condamnée à mort.
L’institutrice qui prônait la lutte des classes
« Quand on suit quelqu’un de bon, on apprend à devenir bon : quand on suit un tigre, on apprend à mordre » Proverbe chinois. Je ne regrette rien, tout ce que j’ai fait était réfléchi. Jacqueline avait déjà connu les privations lors de la Seconde Guerre mondiale. Les « sœurs » en prison, c’était une famille soudée. (El Wattan)
J’ai versé une petite larme en lisant cet extrait sur le quotidien El wattan. La veille, et comme par hasard, je parlais de mon institutrice pendant la révolution à un ami dont le comportement et les valeurs humanistes les rapprochent et c’est ce qui me réconforte dans mon optimisme pour ce pays que nous aimons tant. L’Algérie est riche, riche de sa diversité, de son histoire, de ses faits d’armes, de ses hommes et de ses femmes. Tout algérien digne de ce nom ne peut qu’être fier et optimiste pour l’avenir de ce pays quel que soient les vicissitudes et aléas du moment. Je revois ma mère et cette jeune institutrice (je n’ai compris que plut tard –communiste -), complices dans le verbe et dans l’action, nous étions heureux (frères et sœur) au milieu de la tourmente, aimés et cajolés par ces deux femmes.
Que Dieu puisse te donner santé et clairvoyance ; jacqueline, ainsi qu’à toutes ces femmes qui ont bravé la soumission du prédateur et ont tant donner pour que les valeurs humanistes que je partage avec vous puissent triompher en tout lieu et tout temps.
L’institutrice qui prônait la lutte des classes
« Quand on suit quelqu’un de bon, on apprend à devenir bon : quand on suit un tigre, on apprend à mordre » Proverbe chinois. Je ne regrette rien, tout ce que j’ai fait était réfléchi. Jacqueline avait déjà connu les privations lors de la Seconde Guerre mondiale. Les « sœurs » en prison, c’était une famille soudée. (El Wattan)
J’ai versé une petite larme en lisant cet extrait sur le quotidien El wattan. La veille, et comme par hasard, je parlais de mon institutrice pendant la révolution à un ami dont le comportement et les valeurs humanistes les rapprochent et c’est ce qui me réconforte dans mon optimisme pour ce pays que nous aimons tant. L’Algérie est riche, riche de sa diversité, de son histoire, de ses faits d’armes, de ses hommes et de ses femmes. Tout algérien digne de ce nom ne peut qu’être fier et optimiste pour l’avenir de ce pays quel que soient les vicissitudes et aléas du moment. Je revois ma mère et cette jeune institutrice (je n’ai compris que plut tard –communiste -), complices dans le verbe et dans l’action, nous étions heureux (frères et sœur) au milieu de la tourmente, aimés et cajolés par ces deux femmes.
Que Dieu puisse te donner santé et clairvoyance ; jacqueline, ainsi qu’à toutes ces femmes qui ont bravé la soumission du prédateur et ont tant donner pour que les valeurs humanistes que je partage avec vous puissent triompher en tout lieu et tout temps.
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