Eclairer des villes entières, des villages ou des maisons éloignées sans pour autant les relier à un réseau électrique est désormais une réalité. Votre champ de vision ne sera jamais obstrué par ces milliers de mètres de câbles électriques suspendu au-dessus de votre tête.
Un service et un confort que l’Edielec, société privée de droit algérien, se propose de réaliser pour vous. De quoi s’agit-il au juste ? Le jeune PDG de la société, Mokhefi Sid Ali, nous explique le concept : «Il s’agit de lampadaires équipés d’une petite éolienne d’un mètre tournant à faible vent (2 mètre/seconde), doté d’un aérogénérateur qui transforme l’énergie du vent en électricité laquelle est emmagasinée dans des batteries, et du coup, vous avez sept nuits d’autonomie sans vent».
Les concepteurs du système sont allés encore plus loin en dotant le lampadaire d’un panneau photovoltaïque mis sur la vasque luminaire pour palier le déficit en vent.
Breveté et testé, le produit est actuellement en phase d’industrialisation en France et attend le feu vert des autorités algériennes pour qu’il soit produit localement. Pour cela, le jeune patron ne lésine pas sur les moyens et ne rate aucune tribune pour sensibiliser à la fois les pouvoirs publics sur l’intérêt que représentent les produits de l’Edielec à la collectivité nationale.
Les installations effectuées au niveau de certaines institutions publiques ont donné grande satisfaction. Les grands projets d’infrastructures, à l’instar de l’autoroute Est-Ouest, figurent parmi les principaux marchés visés par l’Edielec.
D’autres produits ont été développés par la société notamment les vasques luminaires. «On s’est dit que vous ne pouvez pas produire de l’énergie avec des vasques de 250 W, cela va consommer beaucoup d’énergie. On a commencé alors à travailler pour aboutir à la création d’une vasque à LED avec un module de contrôle et doté de crépusculaires et de boitier wifi avec une consommation de 32 W, 48 W et 63 W. La durée de vie du LED est de 80.000 heures, soit 8 ans avec un éclairage au sol de 23 lux», souligne Mr Mokhefi.
Outre le marché algérien, le jeune opérateur ne cache pas son intérêt pour le marché tunisien. «La Tunisie de par sa vocation touristique est très à cheval sur les questions d’environnement et de maîtrise d’énergie. Nos produits répondent entièrement à ses exigences», conclut le patron.
© WebManagerCenter
Un service et un confort que l’Edielec, société privée de droit algérien, se propose de réaliser pour vous. De quoi s’agit-il au juste ? Le jeune PDG de la société, Mokhefi Sid Ali, nous explique le concept : «Il s’agit de lampadaires équipés d’une petite éolienne d’un mètre tournant à faible vent (2 mètre/seconde), doté d’un aérogénérateur qui transforme l’énergie du vent en électricité laquelle est emmagasinée dans des batteries, et du coup, vous avez sept nuits d’autonomie sans vent».
Les concepteurs du système sont allés encore plus loin en dotant le lampadaire d’un panneau photovoltaïque mis sur la vasque luminaire pour palier le déficit en vent.
Breveté et testé, le produit est actuellement en phase d’industrialisation en France et attend le feu vert des autorités algériennes pour qu’il soit produit localement. Pour cela, le jeune patron ne lésine pas sur les moyens et ne rate aucune tribune pour sensibiliser à la fois les pouvoirs publics sur l’intérêt que représentent les produits de l’Edielec à la collectivité nationale.
Les installations effectuées au niveau de certaines institutions publiques ont donné grande satisfaction. Les grands projets d’infrastructures, à l’instar de l’autoroute Est-Ouest, figurent parmi les principaux marchés visés par l’Edielec.
D’autres produits ont été développés par la société notamment les vasques luminaires. «On s’est dit que vous ne pouvez pas produire de l’énergie avec des vasques de 250 W, cela va consommer beaucoup d’énergie. On a commencé alors à travailler pour aboutir à la création d’une vasque à LED avec un module de contrôle et doté de crépusculaires et de boitier wifi avec une consommation de 32 W, 48 W et 63 W. La durée de vie du LED est de 80.000 heures, soit 8 ans avec un éclairage au sol de 23 lux», souligne Mr Mokhefi.
Outre le marché algérien, le jeune opérateur ne cache pas son intérêt pour le marché tunisien. «La Tunisie de par sa vocation touristique est très à cheval sur les questions d’environnement et de maîtrise d’énergie. Nos produits répondent entièrement à ses exigences», conclut le patron.
© WebManagerCenter
Commentaire