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Le « CNES » tire la sonnette d’alarme et accuse l’administration de « partage de la rente »
L’université en grève pour une durée de 15 jours à partir de la semaine prochaine
Le conseil des enseignants de l’enseignement supérieur ont décidé de rentrer en grève pour une durée de 15 jours à partir du 30 mai en cours, en suspendant toutes les activités scientifiques et pédagogiques, pour répondre à « l’injustice» de l’administration et à « la lenteur » du ministère quant à l’examen du dossier de compensations.
Le conseil national du « CNES » a tenu le week-end dernier une session ordinaire à la capitale avec la participation de 27 branches de différentes wilayas pour évaluer la situation interne de l’université, et selon le coordinateur national, Abdelmalek Rahmani, qui s’est exprimé à El Khabar, le ministère de l’enseignement supérieur n’a pas respecté ses engagements qu’il a promis juste après la promulgation de la loi principale relative au professeur chercheur en mois d’avril 2008, dans le cadre de la commission commune avec les syndicats du secteur, où l’on a convenu de débattre le système de compensation la diligence dans l’examen du dossier.
Le représentant du « CNES » a declaré que « ce non respect » des promesses explique la dégradation de la situation à l’université, car les choses sont devenues « calamiteuses », contrairement aux « slogans » scandés par la tutelle à travers la consécration de l’université publique au service du pays.
L’orateur a indiqué que « l’université est aujourd’hui devenue comme un royaume : influence, injustice et des dépassements, dangereux la plupart du temps puisque leurs auteurs sont des responsables dont leurs seul souci est le partage de la rente … », ce qui a ouvert la porte aux différents types de violence les plus dangereux, avant d’ajouter que l’université s’est transformée en scènes de crimes les plus affreux.
L’université en grève pour une durée de 15 jours à partir de la semaine prochaine
Le conseil des enseignants de l’enseignement supérieur ont décidé de rentrer en grève pour une durée de 15 jours à partir du 30 mai en cours, en suspendant toutes les activités scientifiques et pédagogiques, pour répondre à « l’injustice» de l’administration et à « la lenteur » du ministère quant à l’examen du dossier de compensations.
Le conseil national du « CNES » a tenu le week-end dernier une session ordinaire à la capitale avec la participation de 27 branches de différentes wilayas pour évaluer la situation interne de l’université, et selon le coordinateur national, Abdelmalek Rahmani, qui s’est exprimé à El Khabar, le ministère de l’enseignement supérieur n’a pas respecté ses engagements qu’il a promis juste après la promulgation de la loi principale relative au professeur chercheur en mois d’avril 2008, dans le cadre de la commission commune avec les syndicats du secteur, où l’on a convenu de débattre le système de compensation la diligence dans l’examen du dossier.
Le représentant du « CNES » a declaré que « ce non respect » des promesses explique la dégradation de la situation à l’université, car les choses sont devenues « calamiteuses », contrairement aux « slogans » scandés par la tutelle à travers la consécration de l’université publique au service du pays.
L’orateur a indiqué que « l’université est aujourd’hui devenue comme un royaume : influence, injustice et des dépassements, dangereux la plupart du temps puisque leurs auteurs sont des responsables dont leurs seul souci est le partage de la rente … », ce qui a ouvert la porte aux différents types de violence les plus dangereux, avant d’ajouter que l’université s’est transformée en scènes de crimes les plus affreux.
el khabar
16-05-2009
Par : K. L / Traduit par H. Benyahia
16-05-2009
Par : K. L / Traduit par H. Benyahia