Ne riez pas de nous, les français, maghrebins et autres francophones.
Nous les québecois faisons tout notre possible pour que les autres provinces du Canada ne nous écrasent pas avec leur anglais....Les anglo-saxons avec leur culture nous étouffent, mais nous tenons bien encore....
Pour nous aider, d'apres vous, pourquoi notre français est si malade que ça?
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La plupart des futurs enseignants inscrits cet automne dans les universités du Québec ne maîtrisent pas les notions de base du français.
Une tournée de cinq universités menée par Le Journal de Montréal révèle qu'entre 40% et 79% des étudiants en enseignement ont échoué leur test de français.
Cet examen mesure les connaissances grammaticales acquises à l'école primaire et au secondaire. Pour réussir, les étudiants devaient obtenir une note de 75%.
À l'Université de Montréal, près de 77% des aspirants-professeurs n'ont pas obtenu la note de passage. Cette performance est pire qu'en 2004, alors que 74% d'entre eux avaient dû suivre des cours de «mise à niveau» linguistique avant d'obtenir leur diplôme.
La situation est encore plus sombre à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, où 79% des étudiants inscrits cette année n'ont pas réussi l'examen.
Ce n'est guère mieux à l'Université Laval, où presque sept étudiants sur dix ont enregistré un échec.
Le taux d'échec atteint 57,9% à l'Université du Québec en Outaouais.
Les futurs enseignants inscrits à l'Université du Québec à Trois-Rivières ne sont pas obligés de subir un test de français lorsqu'ils entreprennent leur formation.
Source: LCN
Nous les québecois faisons tout notre possible pour que les autres provinces du Canada ne nous écrasent pas avec leur anglais....Les anglo-saxons avec leur culture nous étouffent, mais nous tenons bien encore....
Pour nous aider, d'apres vous, pourquoi notre français est si malade que ça?
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La plupart des futurs enseignants inscrits cet automne dans les universités du Québec ne maîtrisent pas les notions de base du français.
Une tournée de cinq universités menée par Le Journal de Montréal révèle qu'entre 40% et 79% des étudiants en enseignement ont échoué leur test de français.
Cet examen mesure les connaissances grammaticales acquises à l'école primaire et au secondaire. Pour réussir, les étudiants devaient obtenir une note de 75%.
À l'Université de Montréal, près de 77% des aspirants-professeurs n'ont pas obtenu la note de passage. Cette performance est pire qu'en 2004, alors que 74% d'entre eux avaient dû suivre des cours de «mise à niveau» linguistique avant d'obtenir leur diplôme.
La situation est encore plus sombre à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, où 79% des étudiants inscrits cette année n'ont pas réussi l'examen.
Ce n'est guère mieux à l'Université Laval, où presque sept étudiants sur dix ont enregistré un échec.
Le taux d'échec atteint 57,9% à l'Université du Québec en Outaouais.
Les futurs enseignants inscrits à l'Université du Québec à Trois-Rivières ne sont pas obligés de subir un test de français lorsqu'ils entreprennent leur formation.
Source: LCN
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