dimanche 17 mai - 14:55:36
Au Koweït, des femmes attendent pour voter aux élections legislatives. Ce n'est que depuis 2005 qu'elle jouissent du droit de vote et d'éligibilité.
Pour la première fois dans l’histoire du Koweït, quatre des cinquante députés du Parlement sont des femmes.
Suite aux élections législatives de samedi, quatre femmes font une entrée remarquée au Parlement.
Dans cette monarchie constitutionnelle, où cela fait quatre ans à peine que les femmes ont obtenu le droit de vote et le droit de se présenter aux élections, c’est une première.
C’est pourtant la troisième fois, depuis 2005, que des femmes sont candidates au Parlement. Mais lors des précédents scrutins, en 2006 et 2008, aucune femme n’avait été élue. Ce samedi Massuma al-Mubarak, Aseel al-Awadhi, Rula Dashti et Salwa al-Jassar ont changé la donne.
Portrait des quatre nouvelles députées, A Koweït City, Aurélien Coly (0'44")
De ces quatre femmes, libérales, une est déjà bien connue des Koweïtiens : Massuma al-Mubarak a déjà marqué l’histoire en devenant la première femme ministre au Koweït en 2005.
"C’est une victoire pour les femmes du Koweït et une victoire pour la démocratie koweïtienne. C’est un bon en avant" , a affirmé optimiste Aseel al-Awadhi, titulaire d’un doctorat de l’Université du Texas et professeur de sciences politiques à l’Université de Koweït.
Toutes les quatre ont étudié aux Etats-Unis, et sont pour trois d’entre elles libérales (Salwa al-Jassar est indépendante).
De manière générale, les islamistes sunnites ont reculé lors de ce scrutin, passant de 21 à 11 sièges au sein du Parlement.
Au Koweït, qui compte 3,44 millions d’habitants, 2,35 millions d’étrangers n’ont pas le droit de vote.
Au Koweït, des femmes attendent pour voter aux élections legislatives. Ce n'est que depuis 2005 qu'elle jouissent du droit de vote et d'éligibilité.
Pour la première fois dans l’histoire du Koweït, quatre des cinquante députés du Parlement sont des femmes.
Suite aux élections législatives de samedi, quatre femmes font une entrée remarquée au Parlement.
Dans cette monarchie constitutionnelle, où cela fait quatre ans à peine que les femmes ont obtenu le droit de vote et le droit de se présenter aux élections, c’est une première.
C’est pourtant la troisième fois, depuis 2005, que des femmes sont candidates au Parlement. Mais lors des précédents scrutins, en 2006 et 2008, aucune femme n’avait été élue. Ce samedi Massuma al-Mubarak, Aseel al-Awadhi, Rula Dashti et Salwa al-Jassar ont changé la donne.
Portrait des quatre nouvelles députées, A Koweït City, Aurélien Coly (0'44")
De ces quatre femmes, libérales, une est déjà bien connue des Koweïtiens : Massuma al-Mubarak a déjà marqué l’histoire en devenant la première femme ministre au Koweït en 2005.
"C’est une victoire pour les femmes du Koweït et une victoire pour la démocratie koweïtienne. C’est un bon en avant" , a affirmé optimiste Aseel al-Awadhi, titulaire d’un doctorat de l’Université du Texas et professeur de sciences politiques à l’Université de Koweït.
Toutes les quatre ont étudié aux Etats-Unis, et sont pour trois d’entre elles libérales (Salwa al-Jassar est indépendante).
De manière générale, les islamistes sunnites ont reculé lors de ce scrutin, passant de 21 à 11 sièges au sein du Parlement.
Au Koweït, qui compte 3,44 millions d’habitants, 2,35 millions d’étrangers n’ont pas le droit de vote.
Léa Zilber avec agences
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