Pris au mot
Au mot déployé je préfère celui d'éployé
A celui d'homme de couleur celui de basané
A celui de « petit beur » celui de d'"occidenté"
Pour plus de profondeur et de sincérité
Au maux de l'âme je préfère celui des déboires
A ceux du cœur, ceux d'une rancune pâleur
A ceux qui martyrise mon cœur, les douleurs
Pour donner a la souffrance un coté dérisoire
Au motif cousu sur vos visages élargis
J'offrirais les canevas de la joie la moins hostile
Au dentelles des vos jouissances et de vos orgies
Je réduirais votre rang a celui des vils textiles
Au monastères austères qui peuplent la terre
J'embellirais les voutes de mon corps d'argile
Pour que ma chaire impure tapisse vos prières
Et que mes pêchés fasse rougir ce moine servile
Au monuments érigés, je préfère les nature mortes
Qui n'embellissent ni les cimetières ni les tranchées
Égayant ma naïve joie de vivre de déshérite
Au moment que je chéris, j'entre ouvre des portes...
Chaarar,
Au mot déployé je préfère celui d'éployé
A celui d'homme de couleur celui de basané
A celui de « petit beur » celui de d'"occidenté"
Pour plus de profondeur et de sincérité
Au maux de l'âme je préfère celui des déboires
A ceux du cœur, ceux d'une rancune pâleur
A ceux qui martyrise mon cœur, les douleurs
Pour donner a la souffrance un coté dérisoire
Au motif cousu sur vos visages élargis
J'offrirais les canevas de la joie la moins hostile
Au dentelles des vos jouissances et de vos orgies
Je réduirais votre rang a celui des vils textiles
Au monastères austères qui peuplent la terre
J'embellirais les voutes de mon corps d'argile
Pour que ma chaire impure tapisse vos prières
Et que mes pêchés fasse rougir ce moine servile
Au monuments érigés, je préfère les nature mortes
Qui n'embellissent ni les cimetières ni les tranchées
Égayant ma naïve joie de vivre de déshérite
Au moment que je chéris, j'entre ouvre des portes...
Chaarar,
Commentaire