La Russie s'est retirée des négociations internationales de paix sur la Géorgie, à Genève, en raison de l'absence de la région sécessionniste d'Abkhazie, rapporte l'agence Interfax.
"Aborder des questions graves sur la sécurité sans l'une des parties concernées me paraît un exercice inutile", a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Grigori Karasine, dont les propos sont cités par Interfax.
Cette séance de pourparlers, prévue lundi et mardi, est présidée par les Nations unies, l'Union européenne et l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe).
Mais l'Abkhazie a annoncé samedi qu'elle boycotterait les discussions, faute d'avoir reçu en temps et en heure un document promis par le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon.
L'Abkhazie insiste pour ne pas être présentée dans les documents de l'Onu comme faisant partie de la Géorgie.
L'Abkhazie et l'autre région séparatiste géorgienne d'Ossétie du Sud ont proclamé leur indépendance après le bref conflit armé entre Tbilissi et Moscou en août 2008. Seuls la Russie et le Nicaragua ont reconnu leur sécession.
source : Reuters
"Aborder des questions graves sur la sécurité sans l'une des parties concernées me paraît un exercice inutile", a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Grigori Karasine, dont les propos sont cités par Interfax.
Cette séance de pourparlers, prévue lundi et mardi, est présidée par les Nations unies, l'Union européenne et l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe).
Mais l'Abkhazie a annoncé samedi qu'elle boycotterait les discussions, faute d'avoir reçu en temps et en heure un document promis par le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon.
L'Abkhazie insiste pour ne pas être présentée dans les documents de l'Onu comme faisant partie de la Géorgie.
L'Abkhazie et l'autre région séparatiste géorgienne d'Ossétie du Sud ont proclamé leur indépendance après le bref conflit armé entre Tbilissi et Moscou en août 2008. Seuls la Russie et le Nicaragua ont reconnu leur sécession.
source : Reuters
Commentaire