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La wilaya d’Oran abritera la première conférence internationale sur la médecine légale ayant pour thème «la médecine légale : actualités et perspectives». Cette manifestation scientifique verra, selon ses organisateurs, la participation de près de cinq cents médecins légistes, juristes, avocats, magistrats, ainsi que d’autres experts médico-légaux. Elle se déroulera du 20 au 21 de ce mois, à l’auditorium de l’établissement hospitalo-universitaire d’Oran (EHU).
Selon le Dr Salim Boumeslout, médecin légiste au CHU d’Oran, membre principal du comité d’organisation, présidé par le professeur Abou Bakr, chef du service de médecine légale à l’EHU, «en plus des experts et spécialistes locaux, cette conférence devra regrouper d’autres personnalités brillantes dans le même domaine, sollicitées de France, Suisse, Allemagne, Pologne, Guinée, Madagascar, Syrie, Yémen, Jordanie, Tunisie, Maroc, ainsi que d’autres pays voisins».
Organisée par la Société algérienne de médecine légale, en collaboration avec la faculté de médecine de l’Université d’Oran, l’EHU et le barreau d’Oran, cette conférence, explique le Dr Salim Boumeslout, traitera de sujets tels que la médecine légale judiciaire, le droit médical, l’identification, l’anthropologie, qui est l’étude des différentes caractéristiques des hommes du point de vue physique : taille, couleur et réflectif de la peau, forme du nez, volume du crâne, forme des yeux, proportions de la bouche, groupes sanguins, etc.
Autres thème : la thanatologie (étude des signes, des conditions, des causes et de la nature de la mort), empreintes génétiques, médecine pénitentiaire, toxicologie médico- légale, dommages corporels et expertises, ainsi que d’autres volets intégrés dans la spécialité.
Selon notre interlocuteur, l’objectif de ces deux journées d’étude est «de faire le point sur cette spécialité, sur ce qui a été fait et ce qui pourrait se faire», de même que «faire connaître les champs d’application de cette spécialité médico-judiciaire et son rôle, que ce soit au profit de la justice ou de la société». Cette rencontre, selon notre interlocuteur, contribuera énormément au développement de la médecine légale en Algérie, de même qu’elle ouvre l’opportunité au personnel médical algérien de s’inspirer des expériences étrangères, chacun dans son domaine, au même titre qu’elle renforcera la collaboration avec la justice, la police scientifique, les laboratoires de toxicologie et la police judiciaire.
Par le soir
Selon le Dr Salim Boumeslout, médecin légiste au CHU d’Oran, membre principal du comité d’organisation, présidé par le professeur Abou Bakr, chef du service de médecine légale à l’EHU, «en plus des experts et spécialistes locaux, cette conférence devra regrouper d’autres personnalités brillantes dans le même domaine, sollicitées de France, Suisse, Allemagne, Pologne, Guinée, Madagascar, Syrie, Yémen, Jordanie, Tunisie, Maroc, ainsi que d’autres pays voisins».
Organisée par la Société algérienne de médecine légale, en collaboration avec la faculté de médecine de l’Université d’Oran, l’EHU et le barreau d’Oran, cette conférence, explique le Dr Salim Boumeslout, traitera de sujets tels que la médecine légale judiciaire, le droit médical, l’identification, l’anthropologie, qui est l’étude des différentes caractéristiques des hommes du point de vue physique : taille, couleur et réflectif de la peau, forme du nez, volume du crâne, forme des yeux, proportions de la bouche, groupes sanguins, etc.
Autres thème : la thanatologie (étude des signes, des conditions, des causes et de la nature de la mort), empreintes génétiques, médecine pénitentiaire, toxicologie médico- légale, dommages corporels et expertises, ainsi que d’autres volets intégrés dans la spécialité.
Selon notre interlocuteur, l’objectif de ces deux journées d’étude est «de faire le point sur cette spécialité, sur ce qui a été fait et ce qui pourrait se faire», de même que «faire connaître les champs d’application de cette spécialité médico-judiciaire et son rôle, que ce soit au profit de la justice ou de la société». Cette rencontre, selon notre interlocuteur, contribuera énormément au développement de la médecine légale en Algérie, de même qu’elle ouvre l’opportunité au personnel médical algérien de s’inspirer des expériences étrangères, chacun dans son domaine, au même titre qu’elle renforcera la collaboration avec la justice, la police scientifique, les laboratoires de toxicologie et la police judiciaire.
Par le soir