Le secteur des énergies renouvelables en Algérie intéressent par ailleurs, et de plus près, les Européens qui veulent diversifier leurs sources d’énergie propre et sécuriser les sources d’approvisionnement en énergie électrique.
Il est prévu dans ce cadre la réalisation d’un câble électrique long de 3.000 km reliant la ville d’Adrar à celle d’Aachen en Allemagne. Dénommé «Clean power from desert», ce mégaprojet, annoncé en novembre 2007, est chapeauté par la société algérienne New Energy Algeria (Neal) et sera réalisé en partenariat avec un consortium d’entreprises étrangères.
Le tracé de ce câble devrait passer par la Sardaigne, le nord de l’Italie, la Suisse et enfin l’Allemagne. Selon les estimations faites par l’Agence spatiale allemande, le coût du projet est estimé à 2 milliards d’euros et devra transporter une capacité de 6.000 MW. La concrétisation de ce projet attend l’accord des responsables politiques de l’Algérie et de l’Allemagne et l’implication d’un consortium d’investisseurs qui vont acheter l’électricité solaire, dont Sonatrach et plusieurs sociétés allemandes.
L’électricité transportée sera produite, souligne le promoteur du projet, en premier lieu à partir de centrales électriques hybrides (solaire - gaz naturel) afin d’assurer une rentabilité certaine au projet.
Le solaire prendra par la suite, indique-t-il, une part de plus en plus importante dans la production de l’électricité pour atteindre les 80% au bout de la dixième année du démarrage de la production.
A noter que ce méga projet a été soumis au Parlement européen pour approbation. Côté officiel algérien, le projet est qualifié, à première vue, d’«intéressant» par le ministre de l’Industrie et du Développement des investissements, Abdelhamid Temmar.
© webmanagercenter
Il est prévu dans ce cadre la réalisation d’un câble électrique long de 3.000 km reliant la ville d’Adrar à celle d’Aachen en Allemagne. Dénommé «Clean power from desert», ce mégaprojet, annoncé en novembre 2007, est chapeauté par la société algérienne New Energy Algeria (Neal) et sera réalisé en partenariat avec un consortium d’entreprises étrangères.
Le tracé de ce câble devrait passer par la Sardaigne, le nord de l’Italie, la Suisse et enfin l’Allemagne. Selon les estimations faites par l’Agence spatiale allemande, le coût du projet est estimé à 2 milliards d’euros et devra transporter une capacité de 6.000 MW. La concrétisation de ce projet attend l’accord des responsables politiques de l’Algérie et de l’Allemagne et l’implication d’un consortium d’investisseurs qui vont acheter l’électricité solaire, dont Sonatrach et plusieurs sociétés allemandes.
L’électricité transportée sera produite, souligne le promoteur du projet, en premier lieu à partir de centrales électriques hybrides (solaire - gaz naturel) afin d’assurer une rentabilité certaine au projet.
Le solaire prendra par la suite, indique-t-il, une part de plus en plus importante dans la production de l’électricité pour atteindre les 80% au bout de la dixième année du démarrage de la production.
A noter que ce méga projet a été soumis au Parlement européen pour approbation. Côté officiel algérien, le projet est qualifié, à première vue, d’«intéressant» par le ministre de l’Industrie et du Développement des investissements, Abdelhamid Temmar.
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