Elle est revenue
Elle est venue cette nuit dans mon sommeil, hanter mon dernier rêve
Je ne sais, si tu as soufflé notre histoire à ce foutu marchand de sable
Il n’a omi aucun détail, notre rupture et ce sourire qui me crève
Tu venais m’avouer que tu n’as cessé de m’aimer et que tu étais coupable
De n’avoir pas su attendre suffisamment, et d’avoir cherché à tout prix
Le réconfort dans les bras de celui qui t’a fait miroiter le paradis
J’ai reconnu ton visage dans mes songes, comment l’oublier…
Je le reconnaîtrai dans les miroirs brisés, et dans milles poussières mêlées
Je cris à qui veut bien l’entendre que je ne t’aime plus, fini l’esclavage !
Mais qui donc à mon réveil a déposé cette larme au creux de mes yeux ?
Elle avait ton parfum et lorsque je l’ai essuyée, j’ai aperçu ton visage
Tout était parfait dans ce rêve, tes jolies mains, tu t’étais coupé les cheveux
Celui qui me remplace dans tes yeux ne sait-il pas te divertir ?
Pour venir ouvrir mes plaies, agiter mon repos, et faire jaillir mes larmes
Me replonger dans la détresse, moi qui ai connu tant de drames ?
Tu ne sais rien de ma vie, depuis qu’avec ce pantin je t’ai vu t’enfuir…
Tu courrais devant moi, docile et frêle, tu riais et tu disais « attrape-moi »
J’avais le cœur du plus serein et du plus amoureux de tous les hommes
Tu étais revenu, tu prétendais me chercher depuis des mois et des mois
Et que plus rien ne nous séparerais, que nous serons unis comme la somme
Mais au réveil, il ne restait rien de cela, ni tes sourires, ni tes ailes d’ange
Dans la réalité tu vis avec cet homme plus beau et sûrement moins sordide
Que moi et plus élégant aussi, mais est-ce qu’il te dit en balayant ta frange
« Des regards inspirés par l’océan, tes yeux sont les plus fidèles, et les plus limpides»
Chaarar,
Elle est venue cette nuit dans mon sommeil, hanter mon dernier rêve
Je ne sais, si tu as soufflé notre histoire à ce foutu marchand de sable
Il n’a omi aucun détail, notre rupture et ce sourire qui me crève
Tu venais m’avouer que tu n’as cessé de m’aimer et que tu étais coupable
De n’avoir pas su attendre suffisamment, et d’avoir cherché à tout prix
Le réconfort dans les bras de celui qui t’a fait miroiter le paradis
J’ai reconnu ton visage dans mes songes, comment l’oublier…
Je le reconnaîtrai dans les miroirs brisés, et dans milles poussières mêlées
Je cris à qui veut bien l’entendre que je ne t’aime plus, fini l’esclavage !
Mais qui donc à mon réveil a déposé cette larme au creux de mes yeux ?
Elle avait ton parfum et lorsque je l’ai essuyée, j’ai aperçu ton visage
Tout était parfait dans ce rêve, tes jolies mains, tu t’étais coupé les cheveux
Celui qui me remplace dans tes yeux ne sait-il pas te divertir ?
Pour venir ouvrir mes plaies, agiter mon repos, et faire jaillir mes larmes
Me replonger dans la détresse, moi qui ai connu tant de drames ?
Tu ne sais rien de ma vie, depuis qu’avec ce pantin je t’ai vu t’enfuir…
Tu courrais devant moi, docile et frêle, tu riais et tu disais « attrape-moi »
J’avais le cœur du plus serein et du plus amoureux de tous les hommes
Tu étais revenu, tu prétendais me chercher depuis des mois et des mois
Et que plus rien ne nous séparerais, que nous serons unis comme la somme
Mais au réveil, il ne restait rien de cela, ni tes sourires, ni tes ailes d’ange
Dans la réalité tu vis avec cet homme plus beau et sûrement moins sordide
Que moi et plus élégant aussi, mais est-ce qu’il te dit en balayant ta frange
« Des regards inspirés par l’océan, tes yeux sont les plus fidèles, et les plus limpides»
Chaarar,
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