@ la revanche il ya un site que tu peut découvrir si ce n'est déjà fait
qui parle de Da Lounes
http://www.o k b o b. n e t/article-26481800.html
RBull désole tu me pose une colle et pourtant ......
Matoub n'a jamais commencer lui même une chanson en français
ça j'en suis sur
et il ya une chanson ou il parle de la Kahina reine Berbère c'est dans son album a l'olympia en 1980
voici le lien http://p l a y e r.d z m u s i q u e.com/ecoutez:Recital-a-l-Olympia
et le seule album que je connaisse avec un duo c'est celui - El-mahna Vol.I et Vol.II(en duo avec Nouara) de 1993
et Regard sur l'histoire d'un pays damné vol.I de 1991
Matoub Lounes - Yekkes-as i znad ucekkal
http://p l a y e r.d z m u s i q u e.com/ecoutez:Yekkes
Matoub Lounes - Tuzma t-temgher
http://p l a y e r.d z m u s i q u e.com/ecoutez:El-Mehna
L'effroi de l'age - Tuzma t-temgher
Amour !
De quel ravage se ravalent mes traits ?
Depuis si longtemps j’abhorre les miroirs,
Invoque vers moi ma jeunesse en son éclat,
Elle, pour moi, astre, étoile abolie.
Me voici becquetant les graines de mes jours
Et un poignard au dessus de moi suspendu
Doucement, glisse, glisse à mon sang,
Le fil de son attache lentement se dénoue.
J’ai fait tournoyer, par mes affres affolé,
Les meules de ma cervelle,
Je chante mes désastres intimes,
Et ce qui tint mon désir en échec.
Amour, s’il advient que je t’évoque,
Tu exhales le parfum de ma jeunesse.
Sur mes désirs je me pâmais, torpide ; amour,
Vois, sur mon linceul même ton nom s’imprime.
Du temps que j’étais un révolutionnaire,
Tu n’étais que présence erratique,
Oubliant qu’à la semblance de mes compagnons
Je pouvais moi aussi éprouver ce qu’est aimer.
A mon insu le temps roulait son cours,
Pris au dépourvu je ne réalisai nulle quête.
Amour, c’est une fois que tu m’eus échappé,
Que je sus que j’avais saccagé ma jeunesse.
Aimée au cils gracieux, montre-moi ton visage,
Je t’en supplie à ta fenêtre apparais !
J’ai en moi enfoui le souvenir de ton regard,
Ancienne est notre séparation.
Même toi mariée, entourée de tes enfants,
Mon cœur en son amour est demeuré tel :
Ton nom sur ma chair est gravé,
Tu me hantes, ô fine beauté.
Combien d’années se sont écoulées
Sans que jamais nous fussions revus.
Nous avons affronté les douleurs de l’infortune ;
Et nous nous abritâmes sous la froidure de l’angoisse.
Et nos cœurs pourtant de s’interroger :
Quel sort à l’autre est donc échu ?
Jamais il n’ont perdu l’espoir et pourtant…
Un sort contraire toujours les raille.
qui parle de Da Lounes
http://www.o k b o b. n e t/article-26481800.html
RBull désole tu me pose une colle et pourtant ......
Matoub n'a jamais commencer lui même une chanson en français
ça j'en suis sur
et il ya une chanson ou il parle de la Kahina reine Berbère c'est dans son album a l'olympia en 1980
voici le lien http://p l a y e r.d z m u s i q u e.com/ecoutez:Recital-a-l-Olympia
et le seule album que je connaisse avec un duo c'est celui - El-mahna Vol.I et Vol.II(en duo avec Nouara) de 1993
et Regard sur l'histoire d'un pays damné vol.I de 1991
Matoub Lounes - Yekkes-as i znad ucekkal
http://p l a y e r.d z m u s i q u e.com/ecoutez:Yekkes
Matoub Lounes - Tuzma t-temgher
http://p l a y e r.d z m u s i q u e.com/ecoutez:El-Mehna
L'effroi de l'age - Tuzma t-temgher
Amour !
De quel ravage se ravalent mes traits ?
Depuis si longtemps j’abhorre les miroirs,
Invoque vers moi ma jeunesse en son éclat,
Elle, pour moi, astre, étoile abolie.
Me voici becquetant les graines de mes jours
Et un poignard au dessus de moi suspendu
Doucement, glisse, glisse à mon sang,
Le fil de son attache lentement se dénoue.
J’ai fait tournoyer, par mes affres affolé,
Les meules de ma cervelle,
Je chante mes désastres intimes,
Et ce qui tint mon désir en échec.
Amour, s’il advient que je t’évoque,
Tu exhales le parfum de ma jeunesse.
Sur mes désirs je me pâmais, torpide ; amour,
Vois, sur mon linceul même ton nom s’imprime.
Du temps que j’étais un révolutionnaire,
Tu n’étais que présence erratique,
Oubliant qu’à la semblance de mes compagnons
Je pouvais moi aussi éprouver ce qu’est aimer.
A mon insu le temps roulait son cours,
Pris au dépourvu je ne réalisai nulle quête.
Amour, c’est une fois que tu m’eus échappé,
Que je sus que j’avais saccagé ma jeunesse.
Aimée au cils gracieux, montre-moi ton visage,
Je t’en supplie à ta fenêtre apparais !
J’ai en moi enfoui le souvenir de ton regard,
Ancienne est notre séparation.
Même toi mariée, entourée de tes enfants,
Mon cœur en son amour est demeuré tel :
Ton nom sur ma chair est gravé,
Tu me hantes, ô fine beauté.
Combien d’années se sont écoulées
Sans que jamais nous fussions revus.
Nous avons affronté les douleurs de l’infortune ;
Et nous nous abritâmes sous la froidure de l’angoisse.
Et nos cœurs pourtant de s’interroger :
Quel sort à l’autre est donc échu ?
Jamais il n’ont perdu l’espoir et pourtant…
Un sort contraire toujours les raille.
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