Matoub Lounès - Ay Idurar N'Djerdjer

[absente]

sahit à misne'tmourthiw!!!!!!!!!!!

Que dire d'autre de notre grand Matoub (fellas ath ya3fou rabi) que dire l'espace de quelques lignes !!!!! Touchante est sa vie et trés émouvante fut sa mort !!!! il est mort en héros il a était entérré avec ses fringues tel un martyre !!!
Grand merci à toi misn't pour cette biographie et pour toutes ces vidéos ........et surtout merci pour "Ahlili" une chanson qui me touche beaucoup!!!!!

[zwina]

Merci pour ce bel hommage à Matoub

[absent]

thanmirth ayesma mi th3edamd syaki

bientôt 11 ans depuis ce maudit jour du 25 juin 98
parti depuis ce jour ... il manque a tout ceux qui l'adulais
il étais une légende vivante et le restera, car il n'est pas mort, il est toujours vivant ......
Il avait chanté l'exil, la langue millénaire, le malaise de la société
l’amour impossible, la séparation

mazalt yedar uryemuth ara

[absent]

== MODERATION==
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[absent]

ffegh ayajradh thamuthiw

[absent]

[absent]

Assaki ligh




Aujourd'hui vivant, demain, qui sait ?
J'ai dit ce que je sais
Et ce que je vois,
Il vous en souvienne: si je sombre dans la rigole
Mon spectre vous appellera.

Miroir, je t'ai offert mon visage:
Tu l'as lapidé de balafres.
Me dressant pour affronter mon désir,
Il exigea de moi ceci:
Mon sang ou le sien;
C'était ainsi: c'était lui ou moi.

La feuille de basilic se terrorise,
Se terrorise à la sécheresse accourant.
Mon coeur est creusé des brûlures,
Du feu qui souffle sur lui.
Voici que le vent du malheur s'affraîchit,
Ils veulent en nous bannir jusqu'à la parole.

Ils ont dessein de nous barrer la route,
Les gluaux pour notre capture sont apprêtés.
Aux abois nous criaillons,
La résine entravant nos ailes.
Le poignard s'aiguise à nos cous,
Ils nous égorgeront les uns après les autres.

Si quatre murs m'enserrent,
Si je ne vois que l'échafaud;
Si la misère m'aspire
Et si mon chemin est une pente au gouffre;
Que l'on me dise: Où crois-tu aller ?
Je clamerai: Je suis Amazigh !

[absent]

Uzu n tayri




Tighri n taggalt

[absent]

salut tout le monde,
il faut passer a autre chose nan , on a écouté,réecouté réérérérérércouté et ....:22: , on ne peut demeurer que dans le virtuel .
passons aux choses sérieuse .

pourquoi pas
ayidhurar nedunith

[absente]

Merci encore pour ces merveilles ,mais tiens en écoutant "uzu nthayri " pourquoi on a pas parlé de son grand amour "djamila" !!!!!! sahit a misn!

[absent]

bonsoir toumaye & mam

il faut passer a autre chose nan

et a quoi pense tu

on a écouté,réecouté réérérérérércouté et ....:22:

mais moi j'aime l'écouté..le réécoute et le réérérérérércouté

on ne peut demeurer que dans le virtuel .
passons aux choses sérieuse .

pourquoi pas
ayidhurar nedunith

a quoi pense tu précise ta pensé
"idhurar n'dunith "
mais encore sois un peut plus explicite

[absent]

un de ces ami parle de lui

[absent]

c'est trés simple miss ntmurthe.
je peut t'expliker et je metterais beaucoup d temps et beaucoup d'énergie , car figure toi, ecrire c'est pas mon fort .
mais c'est pas grave, je te répond en kabyle .
ved atswalidh
reh adhawidh
kim ulach

do you understand

[absent]

Ass Lfarh

[absent]

@ toumaye


je te repondrai par ceci :

J’ai tout rêvé, tout dit, dans mon pays
J’ai joué du feu, de l’air, de la lyre.
On a pu m’entendre, on a pu me lire
Et les gens s’en vont dormir, ébahis…
Charles Cros