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A Tlemcen, une vaste opération de réalisation de forages a été lancée par un conglomérat de plusieurs entreprises, notament le Groupe Chinois Uyfei et l’entreprise EGETHY. Il s'agit de puiser dans les eaux souterraines le long de la bande frontalière par la wilaya de Tlemcen, afin de réduire le déficit en eau que connaissent les localités se trouvant sur le couloir ouest.
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C’est ainsi que 11 forages seront réalisés dans cette partie de la wilaya pour un débit global de plus de 200 l/s. Actuellement, cinq forages ont été mis en exploitation et ont permis de passer à un débit de 150 l/s. Avec une ramification de conduites d’alimentation en eau potable qui s’étend sur 24 km et la réalisation d’une station de pompage qui peut développer un volume de
300 l/s, reliée à un réservoir d’une capacité de 1 000 m3, cet ouvrage aura à desservir les régions de Nedroma, Tounane, Bab El-Assa et Maghnia, localités qui avaient vécu, par le passé, des moments très pénibles en matière d’alimentation en eau potable.
C’est en fait un conglomérat de plusieurs entreprises qui a réalisé ce programme, notamment le groupe chinois Uyfei et l’entreprise EGETHY ex-Sogerwit ; le tronçon des conduites a été réalisé par le groupe Denouni et les équipements fournis par la société Agro-industrie.
D’une enveloppe globale de l’ordre de 600 millions de dinars, cette opération a nécessité également la pose de 8 km de câbles électriques pour alimenter les différents lots de cet équipement.
Sur le plan purement technique, il y a lieu de savoir que plusieurs forages réalisés dans la région ont atteint plus de 600 mètres de profondeur et un autre a dépassé la barre des 900 mètres. Ce dernier ouvrage, faut-il souligner au passage, permettra aux responsables du secteur d’étudier la nappe calcaire aquifère et d’évaluer également les réserves de la ressource souterraine localisée dans la région.
Ainsi donc, avec cette opération de grande envergure, les localités situées sur le couloir ouest connaîtront, dans les jours à venir, une amélioration sensible en matière d’AEP. Le cas de la daïra de Ghazaouet a été réglé après la réalisation de deux stations de dessalement d’eau de mer pouvant développer une capacité de traitement de 5 000 m3/j.
Source: La nouvelle république
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C’est ainsi que 11 forages seront réalisés dans cette partie de la wilaya pour un débit global de plus de 200 l/s. Actuellement, cinq forages ont été mis en exploitation et ont permis de passer à un débit de 150 l/s. Avec une ramification de conduites d’alimentation en eau potable qui s’étend sur 24 km et la réalisation d’une station de pompage qui peut développer un volume de
300 l/s, reliée à un réservoir d’une capacité de 1 000 m3, cet ouvrage aura à desservir les régions de Nedroma, Tounane, Bab El-Assa et Maghnia, localités qui avaient vécu, par le passé, des moments très pénibles en matière d’alimentation en eau potable.
C’est en fait un conglomérat de plusieurs entreprises qui a réalisé ce programme, notamment le groupe chinois Uyfei et l’entreprise EGETHY ex-Sogerwit ; le tronçon des conduites a été réalisé par le groupe Denouni et les équipements fournis par la société Agro-industrie.
D’une enveloppe globale de l’ordre de 600 millions de dinars, cette opération a nécessité également la pose de 8 km de câbles électriques pour alimenter les différents lots de cet équipement.
Sur le plan purement technique, il y a lieu de savoir que plusieurs forages réalisés dans la région ont atteint plus de 600 mètres de profondeur et un autre a dépassé la barre des 900 mètres. Ce dernier ouvrage, faut-il souligner au passage, permettra aux responsables du secteur d’étudier la nappe calcaire aquifère et d’évaluer également les réserves de la ressource souterraine localisée dans la région.
Ainsi donc, avec cette opération de grande envergure, les localités situées sur le couloir ouest connaîtront, dans les jours à venir, une amélioration sensible en matière d’AEP. Le cas de la daïra de Ghazaouet a été réglé après la réalisation de deux stations de dessalement d’eau de mer pouvant développer une capacité de traitement de 5 000 m3/j.
Source: La nouvelle république