Je sais oui je crois que je sais jusqu’à la prochaine fois où je ne sais pas
Je sais que c’est toujours ça, on sait puis on ne sait pas et c’est ainsi à répétition
Mais ce soir puisque je sais laisse-moi te dire ce que je sais
On s’attache sans se commander et on ne veut rien savoir à part ce qu’on sait
Quand on est amoureux on le sait c’est notre cœur qui nous l’a dicté puis on l’a dit
Et c’est tout ce qu’on sait
Sans doute on le sait
On devient fou on le sait c’est les longues nuits qui nous l’auront appris
On devient fou et tout le monde le sait, ne sait-on pas reconnaître la tête d’un amoureux ?
On souffre quand l’un sans l’autre se retrouve dans le froid rongé de l’intérieur
On sourit et même on rit pour le bonheur des autres sachant que le sien est bien loin
On est déchiré de suite on y peut rien et on le sait bien
On garde le sourire pour les autres car il le faut bien
On pleure loin des regards, gare à soi si on ne cache pas ses larmes c’est l’autre qui ne sera pas bien
Dans la vie on souffre dans tous les cas
Réfléchir avant d’avancer d’un pas c’est patienter et résister au temps qui lui n’attend pas
Je ne t’apprends rien si je te dis que le temps est porteur d’envies et de désirs qu’on ne refuse pas comme ça
Ne pas attendre et prendre le wagon dans la joie c’est gagner sa bataille contre le temps puisqu’on a pris le train
Pour vue que le train ne s’arrête pas entre deux quais auquel cas c’est le désert qui nous ouvre ses bras
On penserait du bien du quai à ce moment là
Bonheur à ceux qui ont pris le bon train sans avoir connu l’attente des quais
Destination le bonheur et la joie, l’amour intense et la foi
A eux appartient le monde à eux seuls
Et moi j’ai connu le quai
Le désert et sa souffrance
Du rayon de soleil au départ du train c’est tout ce dont je me souviens
De ce rayon j’ai puisé mon énergie pour une longue traversée loin de ce qui était mien
De ce départ je m’en souviens encore et je souris … au mur qui est en face de moi !
Finalement je ne sais rien
Je sais que c’est toujours ça, on sait puis on ne sait pas et c’est ainsi à répétition
Mais ce soir puisque je sais laisse-moi te dire ce que je sais
On s’attache sans se commander et on ne veut rien savoir à part ce qu’on sait
Quand on est amoureux on le sait c’est notre cœur qui nous l’a dicté puis on l’a dit
Et c’est tout ce qu’on sait
Sans doute on le sait
On devient fou on le sait c’est les longues nuits qui nous l’auront appris
On devient fou et tout le monde le sait, ne sait-on pas reconnaître la tête d’un amoureux ?
On souffre quand l’un sans l’autre se retrouve dans le froid rongé de l’intérieur
On sourit et même on rit pour le bonheur des autres sachant que le sien est bien loin
On est déchiré de suite on y peut rien et on le sait bien
On garde le sourire pour les autres car il le faut bien
On pleure loin des regards, gare à soi si on ne cache pas ses larmes c’est l’autre qui ne sera pas bien
Dans la vie on souffre dans tous les cas
Réfléchir avant d’avancer d’un pas c’est patienter et résister au temps qui lui n’attend pas
Je ne t’apprends rien si je te dis que le temps est porteur d’envies et de désirs qu’on ne refuse pas comme ça
Ne pas attendre et prendre le wagon dans la joie c’est gagner sa bataille contre le temps puisqu’on a pris le train
Pour vue que le train ne s’arrête pas entre deux quais auquel cas c’est le désert qui nous ouvre ses bras
On penserait du bien du quai à ce moment là
Bonheur à ceux qui ont pris le bon train sans avoir connu l’attente des quais
Destination le bonheur et la joie, l’amour intense et la foi
A eux appartient le monde à eux seuls
Et moi j’ai connu le quai
Le désert et sa souffrance
Du rayon de soleil au départ du train c’est tout ce dont je me souviens
De ce rayon j’ai puisé mon énergie pour une longue traversée loin de ce qui était mien
De ce départ je m’en souviens encore et je souris … au mur qui est en face de moi !
Finalement je ne sais rien
Commentaire