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Bonjour
Un Brésilien a été condamné pour avoir filmé plus de 2000 femmes à leur insu dans les toilettes de son entreprise avec son téléphone portable.
Il a ensuite posté ces images sur des sites pornographiques, a annoncé la police.
Frederico Freire Lemos de Souza, ex-directeur de l'Union Brésilienne des compositeurs (UBC), se rendait dans les toilettes des femmes sous prétexte de nettoyer ses verres de contact et c'est alors qu'il camouflait son portable de dernière génération pour filmer les moments intimes de ses victimes. Il aurait eu recours au même stratège dans des restaurants de Rio et même chez certains de ses amis, selon la police.
Le stratagème a été découvert au bout de trois ans quand l'une des employées de l'UBC a vu une lumière qui clignotait sous le lavabo alors qu'elle était assise dans les toilettes. «J'ai eu peur. J'ai pris l'appareil et je me suis rendu compte qu'il me filmait. C'était une sensation horrible», a-t-elle dit. L'homme a été licencié et condamné à verser en première instance 30'000 reais (14'700 dollars) à une des six femmes l'ayant poursuivi.
Source: SDA/ATS
Un Brésilien a été condamné pour avoir filmé plus de 2000 femmes à leur insu dans les toilettes de son entreprise avec son téléphone portable.
Il a ensuite posté ces images sur des sites pornographiques, a annoncé la police.
Frederico Freire Lemos de Souza, ex-directeur de l'Union Brésilienne des compositeurs (UBC), se rendait dans les toilettes des femmes sous prétexte de nettoyer ses verres de contact et c'est alors qu'il camouflait son portable de dernière génération pour filmer les moments intimes de ses victimes. Il aurait eu recours au même stratège dans des restaurants de Rio et même chez certains de ses amis, selon la police.
Le stratagème a été découvert au bout de trois ans quand l'une des employées de l'UBC a vu une lumière qui clignotait sous le lavabo alors qu'elle était assise dans les toilettes. «J'ai eu peur. J'ai pris l'appareil et je me suis rendu compte qu'il me filmait. C'était une sensation horrible», a-t-elle dit. L'homme a été licencié et condamné à verser en première instance 30'000 reais (14'700 dollars) à une des six femmes l'ayant poursuivi.
Source: SDA/ATS
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