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Le mégaprojet saoudien à Oran n’est pas compromis

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  • Le mégaprojet saoudien à Oran n’est pas compromis

    Le groupe saoudien SNASCO a annoncé, hier dans un communiqué de presse, que son mégaprojet de promotion immobilière à la frange maritime Est d’Oran en Algérie, baptisé « Cité de la mer », n’est pas compromis par la nouvelle restructuration des EPLF.


    « Le projet est maintenu. Nous n’avons aucun problème de vis-à-vis pour reprendre le travail avec la nouvelle Entreprise nationale de promotion immobilière (ENIP). Bien au contraire, les choses vont marcher mieux puisque la gestion du dossier sera centralisée », a affirmé hier la chargée de communication du groupe saoudien à Alger.
    Notre interlocutrice, jointe par téléphone, soutient que toutes les procédures nécessaires pour le lancement du projet sont en bonne voie. « Nous avons eu des avis techniques favorables des services concernés. Le permis de construire sera obtenu incessamment.
    Nous sommes en train de préparer le cahier des charges pour lancer un avis d’appel d’offres international pour la réalisation de ce mégaprojet », confie notre source. Elle annonce également la prochaine visite d’une délégation de haut niveau du groupe en Algérie pour s’enquérir de l’avancement des différentes procédures, avant le lancement du projet.
    Cette visite de travail sera consacrée notamment pour le choix d’une entreprise qui sera chargée de concrétiser le projet sur le terrain. Il s’agit aussi de s’entretenir avec les responsables des autorités locales et ceux du ministère de l’Habitat dans le but de bénéficier de facilitations pour lancer le projet. Le vice-président du groupe Snasco avait effectué récemment une visite éclair à Alger, signale-t-on.
    Pour en revenir au communiqué, Snasco Algérie estime que son mégaprojet « Cité de la mer » est un « partenariat stratégique avec le gouvernement algérien. Le groupe saoudien veut ainsi couper court aux rumeurs qui circulent ces derniers mois sur un possible renoncement à ce projet en raison de la restructuration de l’EPLF d’Oran.
    Il est à rappeler que lors de sa dernière visite à Oran fin décembre dernier, le vice-président de Snasco, Talal Saleh Al Sorayai, avait affirmé que les travaux de construction seront entamés dans deux ou trois mois au maximum. « Toutes les études techniques et de faisabilité ont été finalisées par nos partenaires.
    Nous promettons de lancer ce mégaprojet dans les plus brefs délais avec les meilleures solutions technologiques et techniques.
    Nous avons d’ailleurs déjà entamé le 6 décembre dernier des travaux d’aménagement et de préparation du site », avait déclaré le deuxième homme de Snasco. Il avait confié que son groupe n’attend aujourd’hui que les autorisations des pouvoirs publics algériens pour entamer au plus vite les travaux de construction.
    Les Saoudiens ont en effet déposé tous les plans au niveau des directions concernées par ce projet (DUC, DLEP, CTC...). Le dépôt du permis de construire a eu lieu le 29 novembre dernier, selon le groupe saoudien.
    Le coût de ce projet, un partenariat entre le groupe saoudien Snasco et l’EPLF d’Oran, tourne autour de 450 à 500 millions d’euros. Pour le financement de ce projet, des discussions avaient été engagées avec des banques publiques et étrangères, domiciliées en Algérie, dans le but de mettre en place un montage financier.
    Les délais approximatifs de réalisation du projet sont estimés à cinq, voire six ans, au lieu de quatre auparavant.
    Le Quotidien d’Oran

  • #2
    une petite vue du projet

    .


    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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    • #3
      Salam

      Pour le financement de ce projet, des discussions avaient été engagées avec des banques publiques et étrangères, domiciliées en Algérie, dans le but de mettre en place un montage financier.
      Je pensais que ces Saoudiens apportaient avec eux l'argent.. dans ce cas c'est "men lahaytou bakharlou"

      Nous sommes en train de préparer le cahier des charges pour lancer un avis d’appel d’offres international pour la réalisation de ce mégaprojet », confie notre source.
      En plus ce n'est même pas eux qui vont construire..

      Ce "Le groupe saoudien SNASCO", n'est donc qu'un bureau d'étude qui veut gagner gros sans rien mettre sur la table.. pourvu que le résultat soit aussi beau que celui sur cette photo.

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      • #4
        Nous sommes en train de préparer le cahier des charges pour lancer un avis d’appel d’offres international pour la réalisation de ce mégaprojet »
        Les Algériens sont donc complètement écartés de ce projet !!!

        Pour la Frange Maritime, il y a eu des projets d'aménagement détaillés faits par un bureau d'études algérien dans les années 1990. Ces dossiers ont été ignorés sous couvert que le terrain était inconstructible du fait de l'existence d'une faille souterraine (!)
        Le bureau d'études a rejeté cette idée d'"inconstructibilité" comme étant absurde parce qu'en la matière, il est plus juste de parler de contraintes à prendre en compte et de conditions urbanistiques, architecturales, sociales, économiques, managériales et techniques à réunir pour réaliser les constructions. On sait par ailleurs que bon nombre d'ensembles touristiques monumentaux de la Costa del Sol en Espagne sont construits sur des terrains plus problématiques que la Frange Maritime d'Oran.

        Et voilà, tout à coup, que le terrain devient constructible et les compétences algériennes sont complètement exclues de toutes les phases de réalisation des projets dans cette zone.

        Quelle va être la réaction des apparatchiks à la tête de l'Ordre des Architectes Algériens ??

        Et comme l'a relevé Mohamed_Rédha, qu'est-ce que le groupe saoudien va apporter ? Apparemment rien en contrepartie d'un pactole.
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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        • #5
          Bonjour Mohamed Réda,


          Je pensais que ces Saoudiens apportaient avec eux l'argent.. dans ce cas c'est "men lahaytou bakharlou"
          Je crois que ce point est à mettre sur l'ambiguïté de l'article. A mon avis c'est le financement de la part de l'EPLF Oran qui se fera avec le concours d'établissements bancaires Algériens et Etrangers. La partie Saoudienne doit disposer de ses propres fonds, sinon ça n'aurait pas de sens.

          En plus ce n'est même pas eux qui vont construire..
          Pour la réalisation d'un projet de cette envergure, les promoteurs passent généralement par des entrepreneurs tiers qui sont généralement de grands groupes parce qu'il faut avoir avoir les reins solides pour mener à bien ce type de chantier.
          Dernière modification par Dandy, 25 mai 2009, 12h05.

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          • #6
            Envoyé par benam
            Les Algériens sont donc complètement écartés de ce projet !!!
            D'autant plus que l'évaluation des offrent sera faite par ce bureau.

            Envoyé par Dandy
            Si on en croit l'article, je pense que le financement de la part de l'EPLF Oran se fera avec le concours d'établissements bancaires Algériens et Etrangers. A mon avis, la partie Saoudienne doit disposer de ses propres fonds, sinon ça n'aurait pas de sens.
            Je ne comprends pas le rôle de l'EPLF (ou ENIP).. ce bureau saoudien peut sans problèmes gérer le projet de A à Z..
            Pour ce qui est du financement du projet par des banques étrangères ne veut pas dire que les fonds sont d'origines étrangères.. Toutes les banques de droits algériens empruntent du Trésor public.

            Les saoudiens n'auront à financer que le fonctionnement d'une petite administration le temps de décrocher les premiers prêts bancaires..

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            • #7
              quand je vois projet "diréctement sur la plage"

              je me dis qu il ya ailleurs dans d autres communes de grands gachis, quand on installe des usines diréctement sur la plage- Vraiment de l inconscience , des centaines de km de sable pérdu sous des usines.
              Les usines doivent étres installées dans le cas ou nécessaire à au moins 1 ou 2 km de la plage. et non pas sur le "sable mouillé" marin!:22:
              Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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              • #8
                en réalité la mer est trop loin parce qu il ya une grande falaise entre les building et la mer,je connait cet endroit en ayant souvent a oran

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                • #9





                  Dans la même zone :
                  Projet déjà réalisé (Sheraton Oran)




                  Dernière modification par Krimo65, 27 mai 2009, 01h24.

                  Commentaire


                  • #10
                    Projet en cours de finalisation (Bahia Center)











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