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L’AMBASSADEUR DES ETATS-UNIS À ALGER: «Il y a des opportunités en Algérie, mais...»

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  • L’AMBASSADEUR DES ETATS-UNIS À ALGER: «Il y a des opportunités en Algérie, mais...»

    L’AMBASSADEUR DES ETATS-UNIS À ALGER À PROPOS DES INVESTISSEMENTS

    «Il y a des opportunités en Algérie, mais...»

    A propos de la vente d’armes, il a indiqué que son pays n’est pas opposé à cette éventualité et c’est l’Algérie qui a exprimé des hésitations.
    Des lourdeurs bureaucratiques et autres tracas causés au niveau de l’administration et des douanes bloquent, dans une large mesure, la venue des investisseurs étrangers en Algérie et particulièrement les entreprises américaines.

    «Pour les investissements, votre Président et les responsables de votre gouvernement ont relevé des problèmes de bureaucratie. Il y a aussi le manque de transparence et des problèmes de dédouanement.» C’est par ce raccourci diplomatique et des propos atténués que l’ambassadeur des Etats-Unis à Alger, David D.Pearce, a préféré dire toutes ces entraves qui caractérisent le climat des investissements en Algérie.

    Pis encore, il fait un parallèle qui indique à quel point la bureaucratie est dommageable pour l’économie algérienne quand il affirme que «ce ne sont pas des raisons sécuritaires qui font que les entreprises américaines marquent une certaine hésitation à venir en Algérie, mais il y a des obstacles plus pratiques qui les empêchent de venir», a ajouté M.Pearce lors d’une rencontre, la première du genre, avec des journalistes de la presse écrite, hier au siège de son ambassade. Autrement dit, la bureaucratie est tout aussi dangereuse que le terrorisme. Fort de ses arguments, l’ambassadeur américain a appuyé l’idée que ce n’est pas pour des raison politiques que les entreprises de son pays hésitent à s’installer en Algérie. «Nos entreprises sont libres et c’est une question de business.»

    Mais ce n’est pas pour autant que M.Pearce perde sa patience. «Je ne suis pas de nature à faire des conférences pour noircir le tableau. Les responsables algériens ont pris conscience de ces problèmes, ils ont exprimé la volonté de changer cela, j’en suis confiant et je sais qu’il est très difficile de tout changer», a-t-il affirmé en proposant l’assistance de son pays et sa disponibilité à aborder toutes ces questions avec les responsables algériens.

    Voilà donc une nouvelle démarche de l’ambassade des Etats-Unis à Alger: celle de la concertation et du dialogue direct avec les responsables après une un nuage d’été qui a marqué les relations entre les deux partenaires notamment avec l’ex-ambassadeur américain, Robert S. Ford. «Nos deux pays partagent une longue histoire de coopération bilatérale, de commerce et d’échanges qui ont évolué et se sont développés durant les dernières années, au-delà des hydrocarbures et de la lutte antiterroriste», a déclaré M.Pearce dans une brève allocution. En dépit de ces entraves, les relations ne sont pas pour autant bloquées entre les deux pays. En témoignent les projets en perspective comme l’opportunité de conclure un accord Open Skies qui ouvrira la voie à des vols directs à destination de New York avec Air Algérie. Abordant la question de la vente d’armes, l’ambassadeur a indiqué que son pays n’est pas opposé à cette éventualité et que «c’est l’Algérie qui a exprimé des hésitations par rapport à nos règles: aux Etats-Unis quand nous vendons des armes nous exigeons certains contrôles dans les pays qui achètent ces armes et l’Algérie a été hésitante sur ce plan».

    Enfin, à propos des différends avec l’Algérie, l’ambassadeur a relevé le cas de la presse et plus précisément la diffamation. «J’ai abordé notamment la question du délit de presse avec des responsables algériens et j’ai dit qu’il fallait amender cela, mais là aussi je crois qu’il y a des évolutions.»

    L'Expression

  • #2
    Il y'a aussi des opportunités aux USA, mais...des problèmes au niveau de l'acceptation des dossiers, que puis'je conclure, la bureaucratie par excellence, faut avoir le Bac pour émigrer au land of milk and honey, comme si tous les américains avait le niveau de BAC.
    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

    J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

    Commentaire


    • #3
      comme si tous les américains avait le niveau de BAC.
      Aucun rapport

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