Plus je souffre et plus je m'engouffre dans ce gouffre sans souffle,
Et pourtant.
Je suis comblée,enchantée,émerveillée par cette amour,
Sans retour.
S'embrasser sous un pont,comme deux vagabonds,nous l'avons fait,
Quel effet !
Se faire des serments,faire un enfant,oublier le temps,
C'était avant.
Condamnée à écrire des vers,déstructurés,fracassés,vidés.
Mon écriture est comme moi,un poète sans émoi....
Ce soir ma déraison à des raisons d'être là...
Dans ce mutisme,ce douloureux fracas
La stylistique et la rhétorique n'ont plus de raison d'être
Puisque désormais je sombre dans ce mal être
Je me saoule chaque soir à ces souvenirs
Auxquelles je ne veux plus tenir
Le désespoir est assis sur un banc disait Prévert
Et moi ce soir je détruit ces vers...
Ces vers,tel des bouts de verres
Avec lesquelles j'entaille mes veines.
Pour être enfin,
Sereine.
Et pourtant.
Je suis comblée,enchantée,émerveillée par cette amour,
Sans retour.
S'embrasser sous un pont,comme deux vagabonds,nous l'avons fait,
Quel effet !
Se faire des serments,faire un enfant,oublier le temps,
C'était avant.
Condamnée à écrire des vers,déstructurés,fracassés,vidés.
Mon écriture est comme moi,un poète sans émoi....
Ce soir ma déraison à des raisons d'être là...
Dans ce mutisme,ce douloureux fracas
La stylistique et la rhétorique n'ont plus de raison d'être
Puisque désormais je sombre dans ce mal être
Je me saoule chaque soir à ces souvenirs
Auxquelles je ne veux plus tenir
Le désespoir est assis sur un banc disait Prévert
Et moi ce soir je détruit ces vers...
Ces vers,tel des bouts de verres
Avec lesquelles j'entaille mes veines.
Pour être enfin,
Sereine.
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