Le programme nucléaire civil algérien suscite de l’inquiétude chez le lobby juif et ses relais qui commencent à s’agiter. Ils voient d’un mauvais œil la signature de plusieurs accords avec des puissances mondiales, les Etats-Unis entre autres, pour obtenir cette technologie.
Aussi, ils n’ont pas manqué de déployer leurs chiens de garde qui distillent les informations les plus fantaisistes sur le programme nucléaire algérien qui n’a pas encore commencé et qui n’en est qu’à ses premiers balbutiements.
Ainsi, Henry Sokolski, représentant d’une association satellitaire du lobby juif, the Nuclear Proliferation Education Center, a critiqué la propension de l’administration américaine à proposer sa coopération dans l’énergie nucléaire à des pays arabes dont l’Algérie.
Cette dernière est classée à l’instar de l’Egypte, l’Arabie Saoudite et la Libye parmi «les cas difficiles», comprendre à risque. Pourtant l’Algérie a toujours fait preuve d’une grande transparence en la matière. Henry Sokolski estime que ce n’est pas suffisant et plaide pour le renforcement du contrôle international.
Ce n’est pas la première fois que le programme nucléaire algérien soulève des soupçons. Le très influent journal américain le Washington Post, qui est proche des républicains conservateurs dont les accointances avec le lobby juif sont un secret de polichinelle, suggère de façon périodique que l’Algérie se prépare à se doter de l’arme atomique. L’Algérie a deux réacteurs qui ont été érigés à titre expérimental.
Ses deux réacteurs dont un de 15 mégawatts a été livré par la Chine et l’autre de 3 mégawatts sont régulièrement contrôlés par l’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA).
Des accords ont été signés aussi avec la France, la Chine, l’Argentine, les Etats-Unis et la Russie, et envisage d’en signer d’autres avec l’Egypte et l’Afrique du Sud. L’Algérie fait du benchmarking (se renseigner sur les expériences des autres pays).
Le programme de l’Algérie dans le domaine nucléaire est ficelé et elle prévoit de se doter d’une centrale nucléaire tous les cinq ans après sa première centrale dont l’acquisition est prévue probablement en 2020.
L’Algérie n’a donc jamais caché sa volonté de se doter de la technologie nucléaire à des fins civiles sans aucune velléité militaire. Ce n’est pas le cas d’Israël qui n’a jamais été inquiété et qui possède pourtant un arsenal pouvant détruire la terre entière.
L’armée sioniste déploierait entre 100 et 200 têtes nucléaires, estiment la plupart des experts.Israël possède toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme nucléaire : des bombardiers F15 et F16, des missiles sol-sol Jericho, développés à partir d’un engin fourni par Dassault, et sans doute des sous-marins capables de tirer des missiles de croisière. Israël n’est pas signataire du traité de non-prolifération nucléaire (TNP).
Ouest-Tribune.
Aussi, ils n’ont pas manqué de déployer leurs chiens de garde qui distillent les informations les plus fantaisistes sur le programme nucléaire algérien qui n’a pas encore commencé et qui n’en est qu’à ses premiers balbutiements.
Ainsi, Henry Sokolski, représentant d’une association satellitaire du lobby juif, the Nuclear Proliferation Education Center, a critiqué la propension de l’administration américaine à proposer sa coopération dans l’énergie nucléaire à des pays arabes dont l’Algérie.
Cette dernière est classée à l’instar de l’Egypte, l’Arabie Saoudite et la Libye parmi «les cas difficiles», comprendre à risque. Pourtant l’Algérie a toujours fait preuve d’une grande transparence en la matière. Henry Sokolski estime que ce n’est pas suffisant et plaide pour le renforcement du contrôle international.
Ce n’est pas la première fois que le programme nucléaire algérien soulève des soupçons. Le très influent journal américain le Washington Post, qui est proche des républicains conservateurs dont les accointances avec le lobby juif sont un secret de polichinelle, suggère de façon périodique que l’Algérie se prépare à se doter de l’arme atomique. L’Algérie a deux réacteurs qui ont été érigés à titre expérimental.
Ses deux réacteurs dont un de 15 mégawatts a été livré par la Chine et l’autre de 3 mégawatts sont régulièrement contrôlés par l’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA).
Des accords ont été signés aussi avec la France, la Chine, l’Argentine, les Etats-Unis et la Russie, et envisage d’en signer d’autres avec l’Egypte et l’Afrique du Sud. L’Algérie fait du benchmarking (se renseigner sur les expériences des autres pays).
Le programme de l’Algérie dans le domaine nucléaire est ficelé et elle prévoit de se doter d’une centrale nucléaire tous les cinq ans après sa première centrale dont l’acquisition est prévue probablement en 2020.
L’Algérie n’a donc jamais caché sa volonté de se doter de la technologie nucléaire à des fins civiles sans aucune velléité militaire. Ce n’est pas le cas d’Israël qui n’a jamais été inquiété et qui possède pourtant un arsenal pouvant détruire la terre entière.
L’armée sioniste déploierait entre 100 et 200 têtes nucléaires, estiment la plupart des experts.Israël possède toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme nucléaire : des bombardiers F15 et F16, des missiles sol-sol Jericho, développés à partir d’un engin fourni par Dassault, et sans doute des sous-marins capables de tirer des missiles de croisière. Israël n’est pas signataire du traité de non-prolifération nucléaire (TNP).
Ouest-Tribune.
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