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Une nouvelle flambée des cours du pétrole menace une fois la crise passée. Le numéro deux du Fonds monétaire international (FMI), John Lipsky, a mis en garde les ministres de l'Energie du G8, réunis à Rome, contre un possible retour du pétrole cher lorsque l'économie mondiale se ressaisira.
A court terme, le FMI s'attend à de nouvelles baisses de prix, les stocks étant élevés et la demande ne devant reprendre que "graduellement" mais "les réductions significatives des investissements dans le pétrole peuvent préparer le terrain pour de futures brusques hausses des prix", a déclaré M. Lipsky à Rome. "La crainte largement exprimée est que la combinaison de la crise financière, de prix du pétrole actuellement bas et d'une plus grande volatilité des prix puisse entraîner un recul de l'expansion des capacités", a-t-il ajouté.
Selon un rapport de l'Agence Internationale de l'Energie (AIE), les investissements dans l'exploration-production de pétrole et de gaz devraient chuter de 21% cette année par rapport à 2008
Afin d'éviter une nouvelle envolée des prix, M. Lipsky a appelé à des "efforts au niveau des politiques afin de parvenir à des investissements plus stables et prévisibles et à des régimes fiscaux qui encourageront les investissements adéquats".
Le numéro deux du FMI a indiqué qu'il y avait tout de même "quelques raisons d'être optimistes", les grands groupes pétroliers devant continuer à investir et le recul des prix des métaux faisant baisser les coûts des projets pétroliers.
Réguler les marchés des matières premières
Le ministre italien du Développement économique a appelé à l'instauration de "nouvelles règles" et à un rôle plus fort des organisations internationales pour assurer la stabilité des prix de l'énergie, en particulier ceux du pétrole, et contrer la baisse des investissements. "Pour relancer les investissements, il faut un nouveau leadership en mesure d'assurer la stabilité" et de "nouvelles règles pour les marchés des matières premières", a insisté Claudio Scajola , sans donner de détails.
"L'imprévisibilité des marchés de l'énergie, la haute volatilité des prix mettent en péril la capacité des entreprises à planifier et à réaliser des investissements", a déclaré Claudio Scajola en concluant les travaux de la session des ministres de l'Energie du G8, réunis à Rome, consacrée aux investissements.
Passés d'un record absolu de 147,50 dollars en juillet à 32,40 dollars en décembre, les cours du pétrole se sont graduellement raffermis depuis le début de l'année et évoluent actuellement autour de 60 dollars.
T.V avec AFP
A court terme, le FMI s'attend à de nouvelles baisses de prix, les stocks étant élevés et la demande ne devant reprendre que "graduellement" mais "les réductions significatives des investissements dans le pétrole peuvent préparer le terrain pour de futures brusques hausses des prix", a déclaré M. Lipsky à Rome. "La crainte largement exprimée est que la combinaison de la crise financière, de prix du pétrole actuellement bas et d'une plus grande volatilité des prix puisse entraîner un recul de l'expansion des capacités", a-t-il ajouté.
Selon un rapport de l'Agence Internationale de l'Energie (AIE), les investissements dans l'exploration-production de pétrole et de gaz devraient chuter de 21% cette année par rapport à 2008
Afin d'éviter une nouvelle envolée des prix, M. Lipsky a appelé à des "efforts au niveau des politiques afin de parvenir à des investissements plus stables et prévisibles et à des régimes fiscaux qui encourageront les investissements adéquats".
Le numéro deux du FMI a indiqué qu'il y avait tout de même "quelques raisons d'être optimistes", les grands groupes pétroliers devant continuer à investir et le recul des prix des métaux faisant baisser les coûts des projets pétroliers.
Réguler les marchés des matières premières
Le ministre italien du Développement économique a appelé à l'instauration de "nouvelles règles" et à un rôle plus fort des organisations internationales pour assurer la stabilité des prix de l'énergie, en particulier ceux du pétrole, et contrer la baisse des investissements. "Pour relancer les investissements, il faut un nouveau leadership en mesure d'assurer la stabilité" et de "nouvelles règles pour les marchés des matières premières", a insisté Claudio Scajola , sans donner de détails.
"L'imprévisibilité des marchés de l'énergie, la haute volatilité des prix mettent en péril la capacité des entreprises à planifier et à réaliser des investissements", a déclaré Claudio Scajola en concluant les travaux de la session des ministres de l'Energie du G8, réunis à Rome, consacrée aux investissements.
Passés d'un record absolu de 147,50 dollars en juillet à 32,40 dollars en décembre, les cours du pétrole se sont graduellement raffermis depuis le début de l'année et évoluent actuellement autour de 60 dollars.
T.V avec AFP