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combustion spontannée

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  • combustion spontannée

    Selon Wikipédia:

    Combustions spontannées

    [IMG]http://secretebase.********/etrange/combustion/uruffe.jpg[/IMG]





    [IMG]http://secretebase.********/etrange/combustion/reeser.jpg[/IMG]
    On parle de combustion spontanée (ou autocombustion, combustion humaine...) lorsqu'une personne se consume sans raison apparente. Ce phénomène, de par son extrême rareté et surtout son caractère inexplicable dans l'état actuel des connaissances n'est pas unanimement reconnue par la communauté scientifique. Tout ce qui se trouve hors du corps reste intact alors que le corps fini inévitablement en cendres. Les lieux du drame ne sont pas touchés. Même les vêtements en ressortent parfois sans trop de dégâts. Ce mystère, ayant fait l'objet d’enquêtes policières dans chacun des cas, est d’autant plus mystérieux que les os de la victime sont parfois aussi détruits, ce qui n’est pas le cas des incendies ordinaires et nécessite une température atteignant 1650 degrés Celsius. De plus, seuls les membres aux extrémités, soit les bras et les jambes, ne sont pas atteints. Le phénomène se déclare lorsque la future victime sent une odeur de brûlé sans pouvoir l’expliquer. Le reste du scénario demeure inconnu mais, selon certains, la personne entre en transe et ne réalise pas qu’elle est en train de brûler. Cependant, la
    combustion se fait à une grande vitesse, ne leur laissant pas le temps de réagir. Finalement, outre les cendres, la personne est parfois retrouvée dans une position tout à fait normale : dans un lit ou assise sur un fauteuil. Dans les cas connus, il a été révélé que les victimes de combustion spontanée étaient souvent des personnes âgées et seules ou de plus jeunes personnes suicidaires. Nombreux étaient aussi alcooliques. Selon certains leur état de santé étant grandement affaibli ajouté à certains facteurs psychologiques (dépression, solitude) ainsi qu’un autre facteur découvert par des physiciens, soit une intensité importante du champ magnétique, pourrait être la cause du problème. Selon eux, il existerait une corrélation entre les cas de combustion spontanée et les pics du champ magnétique terrestre



    De nombreux ouvrages ont abordé ce phénomène et leurs auteurs ont souvent expliqué ces combustions par une consommation immodérée d'alcool. Cependant les enquêtes policières et criminelles qui ont suivi ces décès ont pu démontrer que cette hypothèse ne tient pas la route.
    De nombreuses tentatives d’explications de bouleversements physiologiques ont été mises en avant, mais rien n’a dépassé l’étape d’hypothèse. L’un des plus grands spécialistes, un dénommé John Heymer, ex-enquêteur de police, expliquerait le phénomène par une réaction entre l’hydrogène au niveau des cellulesnCertains se penchent même sur l'hypothèse des mitochondries, partie de la cellule humaine servant à transformer les nutriments des aliments en énergie. Une défaillance dans la transformation de l'énergie pourrait résulter en une mini-explosion de la mitochondrie en question, ce qui entrainerait par le fait même une réaction en chaîne. En éclatant à cause d'un malfonctionnement,
    la mitochondrie défaillante entrainerait les autres dans son explosion et par la proximité très étroite des cellules humaines, l'embrasement de tout le corps, et uniquement le corps puisqu'une cellule humaine est microscopique. En effet, la série d'explosions n'atteindrait pas les tissus ou matériaux environnants et pourrait tout aussi bien s'éteindre par elle même avant d'atteindre les extrémités du corps.

    Pour les rationalistes, il n' y a aucun mystère dans la combustion humaine spontanée, laquelle a fait l'objet d'études scientifiques poussées. Celles-ci ont montré que l’embrasement ou la combustion lente de la graisse par effet de mèche via les vêtements pouvait expliquer le phénomène. Celui-ci se produirait après le décès naturel de la victime ou lorsque celle-ci se trouverait dans l'incapacité de réagir, comme par exemple lors d'un comas éthylique. Il suffirait alors de la proximité d'une source de chaleur, telle une cigarette ou le foyer d'une cheminée pour engendrer le processus.référence. Pour certains le défaut de cette théorie, serait que, même lorsqu’un corps est mis dans un four crématoire, il reste toujours des fragments d’os, ce qui n’est pas toujours le cas de la partie du corps atteinte lors d'un combustion spontanée. Cet argument ne convainc pas les sceptiques, étant donné que le phénomène explicatif n'est justement pas comparable à une crémation et qu'il explique bien le caractère de combustion "en profondeur".

    La comtesse De Cendres
    Le premier cas recensé de combustion humaine spontanée eut lieu en Italie dans les environs de Verone ; au soir du 4 avril 1731 la comtesse Cornelia Bandi 62 ans dîne tranquillement en compagnie du chanoine Bianchini puis part se coucher. Le lendemain matin les domestiques qui pénètrent dans sa chambre sont saisis de stupeur : "le plancher de la chambre précise la gazette locale, était parsemé de grosses taches d'apparence humide et gluante tandis qu'un liquide gras, jaunâtre, écoeurant, coulait le long de la fenêtre emplissant la pièce d'une odeur répugnante". La camériste remarque qu'une fine couche de suie recouvre le meubles, quant à la comtesse Band elle gisait près de son lit où plutôt ce qui restait d'elle : un petit tas de cendre, ses deux jambes et un morceau de sa boîte crânienne, réduit par la force de la combustion. Les autorités et le médecin légiste sont perplexes, le magistrat se contentera de noter dans son rapport "un feu mystérieux semble s'être allumé spontanément dans la poitrine de la comtesse" et l'on se résoudra à classer le dossier pour toujours.

    La demoiselle de Caen
    A Caen ( France ), le 3 juin 1782, une vieille demoiselle disparaît en fumée. Mérille, le chirurgien chargé d'examiner l'affaire, écrit : « Le sommet de la tête gisait sur un des chenets, à quarante-cinq centimètres du feu. Le reste du corps gisait de travers, en face de la cheminée, et n'était plus qu'une masse de cendres. Même les os les plus solides avaient perdu leurs formes et leur consistance. On retrouva le pied droit entier, mais roussi. Bien que ce fut une journée froide, il n'y avait dans le foyer que deux ou trois morceaux de bois brûlés. » Honnêtement, il ajoute que, dans la journée qui a précédé la disparition de Mlle Thaus, des témoins ont vu celle-ci absorber plusieurs litres de vin et un litre de cognac. Un tel exemple a incité un médecin légiste américain, le docteur Dixon Mann, à émettre l'hypothèse selon laquelle ces cas de combus tion humaine spontanée s'expliquaient par l'état d'imbibation alcoolique particulièrement prononcé des victimes. Une étincelle suffirait alors à les enflammer. Malheureusement, et le docteur Mann le reconnaîtra lui-même, de nombreux autres cas de combustion spontanée concernent des personnes qui ne buvaient que de l'eau. Pourtant, le rapport du chirurgien Mérille est formel : Pas un meuble de l'appartement n'était endommagé. On retrouva la chaise sur laquelle elle était assise, intacte, à une cinquantaine de centimètres. Le corps s'était consumé en moins de sept heures, bien que rien d'autre que les vêtements n'ait été calciné.
    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

  • #2
    suite 2

    Combustions spontannées
    [IMG]http://secretebase.********/etrange/combustion/uruffe.jpg[/IMG]





    [IMG]http://secretebase.********/etrange/combustion/reeser.jpg[/IMG]
    On parle de combustion spontanée (ou autocombustion, combustion humaine...)













    Le cas d'Uruff
    A Uruffe, petit bourg lorrain proche de Toul. Ginette Kazmierczak mène une vie solitaire, discrète et effacée dans le logement de fonction de son fils, l'instituteur du village. Le soir du 12 mai 1977, elle est seule dans l'appartement car son fils est de sortie. Vers 3 heures du matin, sa voisine de palier se réveille en sursaut. Sa chambre est pleine de fumée. Elle sort et voit de petites flammes qui dévorent le bas de porte d'entrée de Mme Kazmierczak. Elle alerte les pompiers qui, très vite arrivés, se trouvent devant un spectacle d'épouvante. Le corps de Mme Kazmierczak gît carbonisé sur le plancher, contre la porte d'entrée, mais les jambes et le bras droit sont intacts alors que la tête, le tronc et l'abdomen ne sont plus que cendres. Il a fallu une température énorme (2000°C) pour arriver à ce macabre résultat. Seul le plancher sous le buste de la victime révélera des traces d'incendie. Les murs et le sol sont maculés de suie, mais rien d'autre n'a brûlé dans l'appartement. Le poêle à mazout et le chauffe-eau sont éteints. Une boîte d'allumettes est intacte sur le rebord de la fenêtre. L'électricité fonctionne correctement. Crime, suicide? Ces thèses sont écartées à défaut d'élément matériel pouvant les étayer.
    Le parquet de Nancy ouvre une enquête et charge le capitaine Laurain d'une expertise. Ce dernier reprend toutes les hypothèses : explosion d'une bombe aérosol ou d'un gaz (mais l'embrasement du mobilier aurait alors été total), crime (mais la porte de l'appartement était fermée de l'intérieur), foudre (la météo invalidera cette possibilité). L'expert doit admettre qu'il s'agit bien là d'un cas de combustion spontanée. En conséquence, le 18 janvier 1978, le parquet de Nancy prononcera une ordonnance de non-lieu dans cette affaire.
    Certains cas se sont produit en public. En 1938 une jeune fille prit feu et mourut dans une salle de bal à Chelmsford en Angleterre et en 1980 une autre jeune anglaise brûla dans une discothèque à Darlington. Il y a même des personnes qui survivent à de telles expériences. Comme Jack Angel qui s'endormi en novembre 1974 et se réveilla 4 jours plus tard avec sa main droite brûlé et noirâtre. Il avait aussi des traces de brûlures sur la poitrine, les jambes et le dos mais curieusement il ne ressentait aucune douleur. Il s écroula devant sa caravane et fut transféré à l'hôpital ou on du lui amputer la main. Les médecins déclarèrent qu'il avait comme brûlé de l'intérieur


    Le cas Mary Reeser
    La propriétaire apporta un télégramme à la porte de l'appartement de Mrs. Reeser à Saint Petersburg en Floride. Elle cogna trois fois et attendit. Pas de réponse, elle cogna de nouveau. Toujours sans réponse, elle essaya d'ouvrir la porte. La poignée de la serrure était chaude, ce qui lui rappela la légère odeur de fumée qu'elle avait remarquée un peu plus tôt. Mais l'odeur avait disparu, et elle n'avait donc pas appelé les pompiers. Après avoir encore cogné plusieurs fois, elle appela la police, qui arriva et enfonça la porte. Une vision incroyable les attendait dans l'appartement de Mrs Reeser. Au milieu du salon, un gros fauteuil rembourré avait brûlé jusqu'à ses ressorts métalliques, il y avait un peu de suie au plafond et le tapis était brûlé autour du fauteuil ; à part cela, le feu avait été sans importance. Mais pas de Mrs. Reeser dans l'appartement. En avançant jusqu'au fauteuil, la police découvrit ce qui en restait. Sa tète était là, complètement carbonisée et réduite à la dimension d'une balle de tennis. Elle trouva aussi un fragment de sa colonne vertébrale et un petit morceau d'un pied. C'était tout, sauf quelques cendres grises autour du fauteuil. Le coroner fut stupéfait par cette découverte étrange. On fit appel au docteur Wilton Krogman, spécialiste très connu de la mort par le feu, à l'Ecole de médecine de l'Etat de Pennsylvanie, qui était en vacances dans les environs. " C'est la chose la plus stupéfiante que j'ai jamais vue " dit-il. " Je ne peux pas imaginer une crémation aussi complète sans plus de dommages à l'appartement lui-même. Je n'ai jamais vu non plus de crâne humain ainsi réduit par une chaleur intense." Le contraire a toujours été vrai : les crânes ont soit anormalement grossi soit virtuellement explosé en cent morceaux. La police pensa au suicide, l'accident et le crime, mais sans trouver aucun motif. Il n'existait pas de moyen connu par lequel Mrs. Reeser aurait pu être tuée de la sorte. Il faut une chaleur de prés de 2500 degrés et environ trois heures pour consumer un corps humain à ce point.
    Dans l'affaire de Mary Reeser, des experts en pyromanie, des pathologistes et même des agents du FBI furent appelés à la rescousse pour mener l'enquête. Mais aucun d'eux ne pu expliquer pourquoi le corps fut entièrement désintégré ainsi que les os. Seuls ont subsisté un crâne brûlé, quelques vertèbres, et un pied qui portait encore une pantoufle. La pièce était complètement intacte et le fauteuil fondu. La mort accidentelle fut déclarée cause de l'accident. Pourtant les faits ne concordent pas avec cette affirmation. En effet, pour réduire des os en cendres, il faut une température d'au moins 1650° C, ce qu'un simple incendie de fauteuil ou de vêtement est incapable de produire. D'autre part, une telle température aurait entraîné la combustion de toute la maison. La quantité de suie dégagée montre que le feu qui a consumé Mrs Reeser l'a fait lentement.

    Le cas Jack Stacey
    A Londres ( Angleterre), le pompier Jack Stacey fut appelé pour un incendie dans une maison abandonnée. Quand il arriva sur les lieux, il vit que le bâtiment lui-même ne présentait aucun signe de dégâts causés par le feu, mais lorsqu'il pénétra à l'intérieur de la maison, Stacey trouva un corps en train de brûler, celui d'un sans domicile fixe connu sous le nom de Bailey. A l'agonie, Bailey avait mordu à pleines dents la rampe de l'escalier, ce qui indique qu'il était vivant lors du déclenchement de la combustion. Les pompiers durent écarter ses mâchoires à l'aide d'une barre de fer!"Il avait une fente d'environ 10 cm au milieu de l'abdomen", se rappelle Stacey. « Des flammes en sortaient avec la force d'un chalumeau, » Pour tenter, selon ses propres termes, d'éteindre l'incendie " à la source ", Stacey plaqua directement la lance d'incendie sur le ventre du pauvre hère. Pour le pompier, il ne faisait aucun doute que les flammes s'étaient déclarées à l'intérieur même du corps. L'origine de "l'incendie" n'a jamais été précisée. Il n'y avait, à proximité, pas de branchement de gaz ou d'électricité, ni même d'allumettes. Si la victime avait laissé tomber une cigarette incandescente sur son ventre, des expériences menées par la suite démontrèrent que ça n'aurait pas suffi à produire un feu d'une telle puissance.

    Le cas Patrick Rooney
    Le soir de Noël 1885, Patrick Rooney, sa femme et leur domestique John Larson, burent du whisky dans la cuisine. Larson alla ensuite se coucher et se réveilla le matin de Noël avec la migraine. En bas, dans la cuisine, il trouva tout recouvert d'une pellicule huileuse, et sur le sol, Patrick Rooney, mort. Lamon prit son cheval et galopa prévenir le fils de Rooney, John, qui habitait prés de là. Revenus à la ferme, les deux hommes remarquèrent un trou carbonisé prés de la table de cuisine. En regardant dans l'excavation, ils trouvèrent sur la terre, en dessous du plancher de la cuisine, un crâne calciné, quelques os brûlés et un petit tas de cendres. Le coroner jugea que Patrick était mort par asphyxie provoquée par la fumée du corps de sa femme qui brûlait. Le jury ne rendit aucun verdict. Mrs. Rooney avait disparu dans un feu d'une chaleur fantastique qui ne s'était pas étendu au-delà de ses alentours immédiats. Cela dépassait la compréhension de ce jury de fermiers du Middle West du XIXème siècle.
    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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    • #3
      ca doit etre affreux de mourir de cette façon, je n'ose imaginer ce que les victimes ressentent :22:

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