Tes fleurs de pourpres
Tel une fleur de pourpre elle voguait
Sur les voiles satiné de nos nuits étendues
Et méditerranée elle restera a jamais,
Sur ces plages aux arbres nus
Prolonges tes effluves, dans les lumières
Projètes la nacre sur la danse des poussières
Tourbillonnant dans les siphons éternels
Gravitant vers le ciel, propulsé vers Babel
N'inspire ni le poète, ni le voyageur !
L'un a sa muse, l'autre une lune irradié
Ne te préoccupes que de mon sort, verse sur mon corps
Tes langueurs sucré, tes bracelets en or
Abuse des alcools les plus fous...
Invente les ivresses de nos délires,
Parcours l'allégresse des nos larges cous
Et dessine nos visages aux sons de la lyre
Mon cœur a des cités, si vides, si dépeuplés
Qu'il te sera facile d'y trouver le gîte, ma bien aimé
Graisse la pâte au sommelier qu'il t'invite ce soir
A l'élixir le plus pur, pour peigner tes cheveux noir
Nous nous tiendrons assis, attendant l'heure folle
Celle ou les amoureux transi, déploient leurs corolles
Et laisse les poumons du monde s'ecartelé
Pour qu'au creux de ton âme je puisse déposé
Ces mots d'amour, moi qui dans ton sang ai chaviré
J'y ai gouté les miels les plus fins et les amertumes
Des fantômes qui n'ont jamais su apprécié
Tes fleurs de pourpres que l'océan a cultivé...
Chaarar,
Tel une fleur de pourpre elle voguait
Sur les voiles satiné de nos nuits étendues
Et méditerranée elle restera a jamais,
Sur ces plages aux arbres nus
Prolonges tes effluves, dans les lumières
Projètes la nacre sur la danse des poussières
Tourbillonnant dans les siphons éternels
Gravitant vers le ciel, propulsé vers Babel
N'inspire ni le poète, ni le voyageur !
L'un a sa muse, l'autre une lune irradié
Ne te préoccupes que de mon sort, verse sur mon corps
Tes langueurs sucré, tes bracelets en or
Abuse des alcools les plus fous...
Invente les ivresses de nos délires,
Parcours l'allégresse des nos larges cous
Et dessine nos visages aux sons de la lyre
Mon cœur a des cités, si vides, si dépeuplés
Qu'il te sera facile d'y trouver le gîte, ma bien aimé
Graisse la pâte au sommelier qu'il t'invite ce soir
A l'élixir le plus pur, pour peigner tes cheveux noir
Nous nous tiendrons assis, attendant l'heure folle
Celle ou les amoureux transi, déploient leurs corolles
Et laisse les poumons du monde s'ecartelé
Pour qu'au creux de ton âme je puisse déposé
Ces mots d'amour, moi qui dans ton sang ai chaviré
J'y ai gouté les miels les plus fins et les amertumes
Des fantômes qui n'ont jamais su apprécié
Tes fleurs de pourpres que l'océan a cultivé...
Chaarar,
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