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L’Algérie classée 1re dans le monde arabe et 4e au rang mondial
L'été arrive... les accidents de la route aussi
Après la routine des mois d'études ou de travail qui se ressemblent, tout le monde s'attend à une agréable bouffée d'oxygène pour la saison estivale. Malheureusement, cet oxygène est fortement pollué et menacé par le terrorisme routier, car la saison estivale est bien celle qui condamne le plus la respiration à jamais pour des centaines de victimes d'accidents de la circulation. Bien qu'en été la route ne soit pas glissante et que sa vision est plus claire, vu les bonnes conditions climatiques, les panneaux deviennent invisibles pour ceux qui ne voient rien à part la saison estivale qui est le rendez-vous de toutes les folies.
Les Algériens n'ont pas voulu laisser le premier rang en matière d'accidents de la circulation pour un autre pays du Maghreb ou du monde arabe. Même à l'échelle mondiale, on est bien classés en 4e position ! A cette déshonorable compétence, s'ajoute celle du non-respect du code de la route. Les lois routières sont parmi celles qui ont échoué fortement à s'installer au-dessus des conducteurs. Après les Etats-Unis, l'Italie et la France, vient l'Algérie avec une moyenne de quinze personnes tuées par jour. D'ailleurs, il est fort possible que le classement de la France en 3e place est dû à la forte présence des Algériens là-bas. L'année 2008 a enregistré un bilan de 8 000 accidents de la route. La mort de 4 000 personnes et les blessures de 33 000 et d'autres sont les dégâts humains ni réparables ni récupérables de l'hécatombe routière. La première lecture de ces chiffres officiels peut montrer la valeur de la vie chez des personnes qui prennent le chemin de leur mort ou celle des autres, ou peut-être le caractère d'aventuriers qu'ils ont.
Le parc automobile qui compte actuellement plus de cinq millions de véhicules et le retour remarquable des motos et de scooters, creuseront les tombes de plusieurs personnes. La folie des conducteurs semble vouloir atteindre les mêmes degrés de température que celle de l'été torride à chaque saison estivale. La consommation de drogue et d'alcool s'élève habituellement pendant l'été, le bonheur et la joie peuvent avoir plusieurs sens dans le dictionnaire des conducteurs algériens, à chacun le sien. L'excès de vitesse, le non-respect de la distance de sécurité, la conduite sans ceinture de sécurité tout en parlant au téléphone ou en écoutant la musique sont des comportements qui constituent un plaisir et un bonheur bizarres.
C’est ce drôle de comportement qui est la cause de l’hécatombe sur nos routes.
Le Jour d'Algérie
Après la routine des mois d'études ou de travail qui se ressemblent, tout le monde s'attend à une agréable bouffée d'oxygène pour la saison estivale. Malheureusement, cet oxygène est fortement pollué et menacé par le terrorisme routier, car la saison estivale est bien celle qui condamne le plus la respiration à jamais pour des centaines de victimes d'accidents de la circulation. Bien qu'en été la route ne soit pas glissante et que sa vision est plus claire, vu les bonnes conditions climatiques, les panneaux deviennent invisibles pour ceux qui ne voient rien à part la saison estivale qui est le rendez-vous de toutes les folies.
Les Algériens n'ont pas voulu laisser le premier rang en matière d'accidents de la circulation pour un autre pays du Maghreb ou du monde arabe. Même à l'échelle mondiale, on est bien classés en 4e position ! A cette déshonorable compétence, s'ajoute celle du non-respect du code de la route. Les lois routières sont parmi celles qui ont échoué fortement à s'installer au-dessus des conducteurs. Après les Etats-Unis, l'Italie et la France, vient l'Algérie avec une moyenne de quinze personnes tuées par jour. D'ailleurs, il est fort possible que le classement de la France en 3e place est dû à la forte présence des Algériens là-bas. L'année 2008 a enregistré un bilan de 8 000 accidents de la route. La mort de 4 000 personnes et les blessures de 33 000 et d'autres sont les dégâts humains ni réparables ni récupérables de l'hécatombe routière. La première lecture de ces chiffres officiels peut montrer la valeur de la vie chez des personnes qui prennent le chemin de leur mort ou celle des autres, ou peut-être le caractère d'aventuriers qu'ils ont.
Le parc automobile qui compte actuellement plus de cinq millions de véhicules et le retour remarquable des motos et de scooters, creuseront les tombes de plusieurs personnes. La folie des conducteurs semble vouloir atteindre les mêmes degrés de température que celle de l'été torride à chaque saison estivale. La consommation de drogue et d'alcool s'élève habituellement pendant l'été, le bonheur et la joie peuvent avoir plusieurs sens dans le dictionnaire des conducteurs algériens, à chacun le sien. L'excès de vitesse, le non-respect de la distance de sécurité, la conduite sans ceinture de sécurité tout en parlant au téléphone ou en écoutant la musique sont des comportements qui constituent un plaisir et un bonheur bizarres.
C’est ce drôle de comportement qui est la cause de l’hécatombe sur nos routes.
Le Jour d'Algérie
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