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Singapour (awp/afp) - Le pétrole a cédé un peu de terrain mercredi dans les échanges électroniques d'Asie mais est resté au-dessus des 62 dollars le baril, barre franchie mardi pour la première fois depuis novembre, à la veille d'une réunion de l'OPEP où les quotas devraient rester inchangés.
Le baril de "light sweet crude" pour livraison en juillet perdait 20 cents à 62,25 dollars, après avoir terminé la veille à New York à 62,45 dollars, un niveau plus atteint depuis le 5 novembre.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet a cédé 14 cents à 61,10 dollars.
Le marché reprenait son souffle après son envolée de la veille, où les cours ont été dopés par la remontée en flèche de la confiance des consommateurs américains, qui pourrait présager un retour de la croissance et une reprise de la demande de brut.
L'indice de confiance des consommateurs américains est remonté à 54,9 points en mai, après 40,8 points en avril.
Le petit fléchissement de mercredi n'est "pas significatif: le décor est planté pour une belle hausse du marché pétrolier cet été", a commenté Dave Ernsberger, responsable éditorial de la société d'informations énergétiques Platts, ajoutant que les opérateurs attendent de connaître l'issue de la réunion de l'OPEP jeudi à Vienne.
"Nous allons continuer sur notre lignée" --c'est-à-dire maintenir inchangés les quotas de production des Etats membre -- , a affirmé mardi Ali al-Nouaïmi, le puissant ministre saoudien du pétrole à son arrivée à Vienne.
Il a aussi estimé que le prix du pétrole pourrait remonter à 75 dollars entre le 3e et le 4e trimestre, un prix qu'il juge idéal.
L'OPEP, qui extrait 40% du pétrole mondial a réduit par trois fois ses quotas de production depuis novembre 2008, pour tenter de stabiliser des prix qui s'étaient effondrés jusqu'à 32,40 dollars en décembre, après avoir atteint un record absolu de 147,50 dollars le baril en juillet 2008.
rp
(AWP/27 mai 2009 08h30)
Le baril de "light sweet crude" pour livraison en juillet perdait 20 cents à 62,25 dollars, après avoir terminé la veille à New York à 62,45 dollars, un niveau plus atteint depuis le 5 novembre.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet a cédé 14 cents à 61,10 dollars.
Le marché reprenait son souffle après son envolée de la veille, où les cours ont été dopés par la remontée en flèche de la confiance des consommateurs américains, qui pourrait présager un retour de la croissance et une reprise de la demande de brut.
L'indice de confiance des consommateurs américains est remonté à 54,9 points en mai, après 40,8 points en avril.
Le petit fléchissement de mercredi n'est "pas significatif: le décor est planté pour une belle hausse du marché pétrolier cet été", a commenté Dave Ernsberger, responsable éditorial de la société d'informations énergétiques Platts, ajoutant que les opérateurs attendent de connaître l'issue de la réunion de l'OPEP jeudi à Vienne.
"Nous allons continuer sur notre lignée" --c'est-à-dire maintenir inchangés les quotas de production des Etats membre -- , a affirmé mardi Ali al-Nouaïmi, le puissant ministre saoudien du pétrole à son arrivée à Vienne.
Il a aussi estimé que le prix du pétrole pourrait remonter à 75 dollars entre le 3e et le 4e trimestre, un prix qu'il juge idéal.
L'OPEP, qui extrait 40% du pétrole mondial a réduit par trois fois ses quotas de production depuis novembre 2008, pour tenter de stabiliser des prix qui s'étaient effondrés jusqu'à 32,40 dollars en décembre, après avoir atteint un record absolu de 147,50 dollars le baril en juillet 2008.
rp
(AWP/27 mai 2009 08h30)