Langage, une voix intérieur
Est là
Qui parle presque
Derrière la porte
Nous entendons très bas
Ses syllabes a coup de fusil
Dominées par un vent adverse
Qui nous mord le visage
Nous sommes ses adeptes
Sur terre sans être au monde
Et la fin de ce millénaire barbare est venue
Où nous avons tous les droits pour décrire son événement.
Qu’elle se montre sans peur
Avec sa voix mûrie
Et nourrissante à la façon des fruits
Est là
Qui parle presque
Derrière la porte
Nous entendons très bas
Ses syllabes a coup de fusil
Dominées par un vent adverse
Qui nous mord le visage
Nous sommes ses adeptes
Sur terre sans être au monde
Et la fin de ce millénaire barbare est venue
Où nous avons tous les droits pour décrire son événement.
Qu’elle se montre sans peur
Avec sa voix mûrie
Et nourrissante à la façon des fruits
Et qu’elle nous chante
Sa complainte
***
Sa complainte épousant le vent
Semble prendre le sens
Par les fibres des racines
Étend ses cordes
Sur les dormeurs naïfs
Qui sortent de leur solitude tombale
Comme des insectes
Ils ont reniflés l’odeur
Des ancêtres
Et le ciel leur a pas parlé,
Comme ils le souhaitaient
Sa complainte
***
Sa complainte épousant le vent
Semble prendre le sens
Par les fibres des racines
Étend ses cordes
Sur les dormeurs naïfs
Qui sortent de leur solitude tombale
Comme des insectes
Ils ont reniflés l’odeur
Des ancêtres
Et le ciel leur a pas parlé,
Comme ils le souhaitaient
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