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Amine Belhadj honoré par Financial News

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  • Amine Belhadj honoré par Financial News

    Un spécialiste marocain dans le domaine des finances, Amine Belhadj, a été élu par le magazine Financial News parmi les 20 Européens les plus influents dans la communauté des affaires aux Etats-Unis. Agé de 42 ans, il est responsable actions et dérivés de BNP Paribas à New York, selon la banque, précisant que les critères retenus par le magazine prennent en compte à la fois «la capacité d’innovation, les réussites obtenues et les qualités relationnelles des personnalités nommées».

    leconomiste

  • #2
    un qui est parmis les plus riches d'angletere et qui est dans la finance , et maintenant un autre parmis les 20 meilleur .... d'europe a new york c'est interessant c'est une information de financial news, c'est interessant d'avoire des magrebains a ce nivaux

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    • #3
      C'est une Bonne Nouvelle c'est bien.. Bon succes mais un truc qui me chatouille un peu.. il est parmis des europeens, es que ca veut dire qu'il est Europeen??
      We were all Born newbies... some grow up with the time and some just dont...

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      • #4
        Il ya aussi le franco-egyptien Mohamed El-Erian qui occupe la deuxieme position
        et le franco-algerien Noreddine Sebti qui occupe la dixieme position

        Source :
        http://www.efinancialnews.com/index....-952523-983830

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        • #5
          Envoyé par Uofis
          il est parmis des europeens, es que ca veut dire qu'il est Europeen??
          Financial News le désigne comme étant français. Amine Belhadj est un français d'origine marocaine. Noreddine Sebti (français), classé lui aussi parmis les 20 européens les plus influents aux USA, a semble-t-il un parent algérien.

          Félicitationx aux lauréats. Cette distinction est la preuve de talents uniques forgées dans les mathématiques avancées.

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          • #6
            ce sont des exemples qui montrent le gouffre qui s'épare la personne physique, "le citoyen" de certains pays et leur dirigeant.
            lorsque l'on voit ce classement et toutes celles et ceux qui possèdent de véritables connaissances et expertises dans bien des domaines et qui partent à l'étranger pour rejoindre d'autres nations plus à même de leur permette de mettre en pratiquent leurs connaissances et leurs talents afin de s'épanouir et bien je me rend compte que nous sommes pas sortie de la galère, le Canada, les USA, la France, eux se régalent.

            combien de grands chercheurs, de praticiens, d'économistes...ect, sont partis d'Algérie, du Maroc, d'Egypte pour exercer leur talent réduit à néant dans leur pays d'origine.

            la mal est profond et les solutions se font attendre, enfin je suis heureux pour celles et ceux qui réussissent à l'étranger mais cela a un goût amère.

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            • #7
              borntolive

              Regarde l'Etat des banques en Algérie et tu auras une réponse ! Le système bancaire algérien est désuet, il date de la préhistoire. Si ce Mr Sebti partait en Algérie...on lui donnerait un poste de guichettier dans une petite banque. Quelques algériens établis à l'étranger occupant des postes à haute compétence et responabilité ont essayé ou veulent retourner en Algérie pour contribuer à l'essor du pays mais les conditions n'y sont pas ! Certains s'y sont même rendus comme des chercheurs...on leur a donné des postes d'enseignants alors qu'ils ont les moyens de breveter des découvertes !!!
              L'Algérie doit se bouger dans ses réformes au plus vite !!
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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              • #8
                DZmes Bond

                quant aux chercheurs qui souhaitent revenir ou rester je me permet de préciser qu'il y a une société en Algérie créé tous spécialement pour eux, c'est le SATICOM ( société des technologie de l'information et de la communication), qui est une filiale du Centre de Dévellopement des Technologie Avancées (CDTA)www.cdta.dz

                dans bien d'autres domaines aussi, même si ce n'est qu'un début cela est très prometteur, par contre je doute que si un chercheur souhaite revenir au pays , ce soit pour occuper un poste de fonctionnaire.

                non, ce que je voulais dire c'est que des solutions existe toujours pour des femmes et des hommes qui souhaitent rester en Algérie ou y revenir, surtout aujourd'hui, mais le problème réside sur la volonté et les moyens que l'état souhaite mettre à leur disposition, mais pas pour être des fonctionnaires, mais pour y créer de véritables start up qui leurs permettent de la faire progresser et surtout que l'environnement globale du monde des affaires soit clair.

                aujourd'hui il est plus difficile en Algérie d'être un génie, un manager, un entrepreneur... avec de véritable compètences et une volonté réelle de créer une entreprise que d'être un âne qui crée une société pour uniquement importer ce que ce même génie, manager, entrepreneur pourraient fabriquer et même exporter.

                voilà le problème de l'Algérie.
                mais heureusement les choses changent, mais pas assez vite, car l'Algérie compte aussi des champions du monde "du frein en tous genre" (à défaut du foot ), et ce malgré le potentiel humain, géologique... infini.

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                • #9
                  Si ce Mr Sebti partait en Algérie...on lui donnerait un poste de guichettier dans une petite banque
                  Ca me rappelle le premier ingenieur marocain en nucleaire qui est retourné au Maroc apres l'independance pour participer a "l'edification du Maroc moderne" !! le pauvre on lui a donné le poste d'instititeur dans un patelain perdu.

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